se promaine

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Kaelhula avait un costume noir railler avec une cravate verte sur elle, elle portait des boucles d'oreille qui ressemblé à des trèfles à quatre feuilles, il avait une paire de mitaine de cuir noir et un chapeaux noir avec une bande grise fonçait. Elle se promenait comme à son habitude dans les rues de Suburbia , elle entra dans une rue qui l’emmena dans un endroit qu’elle détestait : le marché au esclave. Kaelhula était contre tous ça, des marchands lui disait qu’ils avaient les meilleurs esclaves quand elle reconnut un marchand qui lui disait quelque chose, elle s’approcha du marchant et le reconnut, c’était Gordosama, un contrebandier des Yakusa qui lui devait de la marchandise et des informations. Kaelhula le prit par le col

-Alors Gordo on se met dans la vente d’esclave de luxe, je pensé que les pourritures comme toi vendait que de la merde comme de la drogue ?

Gordosama : Kaelhula ! Mon amie, cela faisait un…Baille, disait il avec beaucoup d’angoisse.

-où ai mes 10 Vase de la dynastie ming, Gordo tu connaît oncle sam il n’aime qu’on le roule

Gordosam : tu l’es aura en temps voulu !!!! Il était complètement affolé

Elle regarda les esclaves qui étaient enchaîné, il y avait une petite fille qui tenait un ours en peluche dans ses bras faible , ce qui avait pour don de l’énerver et ce n’était pas beau à voir.

-tu sais ce que je pense de tous ça ??!!! Donne les clés !

Gordo : qu’elle clé ??

-ne joue pas au plus malin avec moi ! Dit elle en tendait sa main libre

Gordo : tien les voila ! Gordo lui donna les clé a contre cœur.

-Tu es un bon garçon ! Elle souriait a gord puis lui donna un coup de genou dans le ventre et le jeta contre un mur.

Elle libera les esclave de leur chaîne puis leur dona un papier avec une adresse

-tenez ! Aller a cette adresse et dite au patron que vous venez de la part de kaelh

Toutes les esclaves partirent après l’avoir remerciée surtout la petite fille qui lui donna son ours. Elle se releva et se posa contre un mur.

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Marie-Hélène avait décidé de se promener du côté du marché au esclave, elle était définitivement contre cette pratique et voulait savoir qu’elles mesures avaient pris la milice de ce côté; aucune, à priori. Pour l’instant, la milice ne semblait pas faire grand chose même s’il est vrai qu’elle n’en avait pas encore eu trop le temps, heureusement qu’il y avait de nouveaux commissariats, sinon, elle aurait envoyé un rapport des plus négatifs au gouvernements. Pour l’instant les activités n’avaient pas diminué, la drogue et armes illégales circulaient toujours autant, les gens étaient vite remplacés. Comment une cité pouvait-elle aussi mal tourner?

Une étrange se déroula alors sous ses yeux, une personne qui portait un costume noir et une cravate verte, en plus d’un chapeau et de drôles de boucles d’oreilles, qui semblait faire des menaces aux vendeurs. La jeune femme n’intervint pas, car cet esclavagiste le répugnait autant que son commerce; elle devina que la personne était une femme, mais dans la pénombre, cela se voyait mal. Marie-Hélène s’approcha donc subtilement, sans se faire repérer, désirant contempler la scène de plus près et fut déçue de ne pas la voir tuer cet esclavagiste, mais le cou qu’il avait reçu méritait bien le déplacement. Ainsi, cette jeune femme maîtrisait les arts martiaux, depuis assez longtemps même si on voyait l’aisance des mouvements exécutés.

Elle la vit alors libérer les esclaves, Marie-Hélène en fut agréablement surprise. Ces pauvres bougres ne méritaient pas d’être maltraités, personne ne le méritait... sauf le vendeur et les gens qui achetait les esclaves. Elle remarqua aussi le papier, et se mit à parler, l’espionne ne pu rien entendre mais pu lire sur ses lèvres, un nom: Kaelh. Un nom intéressant, origine d’où? La jeune femme ne le savait pas, mais ça n’avait pas d’importance. Intriguée, l’espionne se dévoila alors à moitié, se mouvant dans l’ombre. Elle laissa la jeune femme faire les premiers pas, se cherchant rapidement un nom et une profession à présenter...

Ce soir là, l’espionne était vêtue chiquement, on aurait dit une dame venant acheté des esclaves, ce qui était le but de la couverture. L’espionne avait laissé sa perruque rose et portaient une longue perruque brune, tressée. Son maquillage était simple, contrairement à ses vêtements. Une jupe courte en cuir noir, moulante, et une belle blouse décolletée rose. Pour passer inaperçu il fallait se faire remarquer, c’était bien connu. En cas de danger, Marie-Hélène cachait bien ses armes, même si elle préférait utiliser les arts martiaux qu’elle avait maîtrisé depuis peu de temps.

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Depuis le début de son altercation avec Gordosama, Kaelhula se sentait observé mais ne savait pas par qui alors elle avait décidé de faire comme si ne rien n’était. Elle vit la jeune femme qui était plutôt ravissante avec ça belle chevelure noir, Son maquillage simple, Une jupe courte en cuir noir, moulante qui plus est, et une belle blouse décolletée rose, Mais un chose importante que son parrain lui avait appris ne jamais se fier au apparence.

*plutôt mignonne*

-bonjour mademoiselle

Dit elle en souriant courtoisement comme il était de coutume de faire pas politesse.

-vous savez que ses quartier son dangereux car on sait jamais su qui on peux tomber.

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Marie-Hélène avait trouvé. Elle s’appelait Kim Lafontaine et était québécoise, elle habitait Yellow High Way, avec l’argent hérité de son père et avait emménagé récemment après sa mort et visitait les lieux, elle avait entendu parlé d’un marché aux esclaves, ce qu’elle trouvait scandaleux et voulait voir de quoi ça avait l’air, peut-être même libérer quelques esclaves. L’inconnue la salua et eu un sourire courtois et lança un avertissement subtile; l’espionne aimait bien son genre...

- « Je m’en doute bien. »

Elle eu un sourire et lança un clin d’œil à la jeune femme. Elle avait parlé avec son accent québécois, qu’elle avait eu le temps de bien perfectionner. L’espionne sortit alors de l’ombre pour entièrement se dévoiler, il serait étrange pour une simple jeune fille de se comporter ainsi trop longtemps. Marie-Hélène se battit alors une nouvelle personnalité, assez innocente mais qui restait prudente malgré une très grande curiosité, la personnalité parfaite pour poser plein de questions.

- « Vous faisiez quoi? »

Elle s’en doutait bien, mais il fallait se montrer un peu naïve, si la jeune inconnu n’était pas déjà dupe, mais ça l’étonnerait beaucoup car elle n’avait montré aucun signe et esquiver quelques gestes qui auraient pu la trahir et la noirceur la masquait assez jusqu’alors. Cette question simple, dont elle connaissait la réponse, lui servirait de prétexte pour se renseigner sur le sort de ses pauvres esclaves et si la milice les aidait, il faudrait juste que la conversation tourne de la bonne façon. Si elle avait vu juste, la jeune femme défendait les esclaves, il faudrait en profiter, donc, pour se renseigner à ce sujet.

Invité

-au rien j'ai réglé des comptes avec une vielle amie

Elle disait avec un large sourire narquois, dans sa voix il avait du mépris et de la moquerie car elle avait bien amoché l'ami en question, elle tenait toujours l’ours en peluche que la fillette lui avait donné pour la remercier de l’avoir libérer, elle mit l’ours dans son sac, puis regarda le jeune femme qui était devant elle.

-Au faite ! Excusez moi de mon impolitesse, je m’appelle Kaelhula Ike, et a qui ai-je l’honneur ?

Invité

Marie-Hélène eu un sourire; elle aimait de plus en plus cette femme, qui était plutôt belle, mignonne même. En plus, cette femme défendait des causes justes et malgré ses moyens peut pacifiques, la jeune respectait sa décision et sa cause. Si elle n’aurait pas travaillé pour le compte du gouvernement, elle aurait probablement voulu aider la jeune femme dans ses activités. Mais justement, elle travaillait pour le gouvernement pour voir comment la milice agissait, certes cela aurait été un bon moyen pour savoir comment la milice s’y prenait.

- « Je me nomme Kim, Kim Lafontaine. Vous avez un nom très original. »

Marie-Hélène le pensait réellement sans trop s’en soucier, il lui fallait pourtant jouer la voix de la naïveté. Elle devrait donc jouer de commentaires et questions de la sorte, qui ne l’aiderait pas beaucoup mais qui, peut-être, aiderait à sa couverture. L’espionne n’était pas encore habituée à la ville, mais pour apprendre il fallait essayer et réessayer en apprenant de ses erreurs et réussites. Telle était la vie! Au pire, elle porterait un costume différent, qu’elle changeait toujours de toute façon.

On ne pouvait facilement enlever sa perruque, et ses lentilles n’étaient pas détectables, à moins qu’il ne s’agisse d’une couleur très spéciale, mais après tout, elle avait déjà vu des yeux mauves et des yeux rouges, alors... En conclusion, personne ne savait de quoi elle avait l’air en réalité, son maquillage la masquait assez bien et la forme de son visage et ses traits, la faisait facilement passer inaperçu. De toute façon, pourquoi essayerait-on de la retrouver? Personne dans cette cité ne semblait apprécié la milice, alors pourquoi se battre contre ses ennemis? La chose était cependant plus compliqué que ça, mais qu’importe.

- « Je trouve que avez bien agis en libérant les esclaves. »

Encore une fois, Marie-Hélène faisait preuve d’une sincérité déconcertante, et montrait aussi une personnalité naïve. L’espionne avait ajouté ce commentaire comme s’il elle ne réfléchissait pas trop à ce qu’elle disait mais qu’elle le pensait vraiment. De plus, ce commentaire devrait mettre la jeune femme en confiance; cette femme ne semblait pas bête mais l’espionne ne lui voulait vraiment aucun mal, que des renseignements, tirés discrètement.

Le regard de l'espionne brillait d'admiration, à moitié feinte, pour le geste de la jeune femme qui avait libéré les esclaves s'en rien demander en retour, ou ne semblait rien demander en échange. Tout en elle criait l'innocence, normal puisque Marie-Hélène l'avait longtemps été, mais plus maintenant.