Haru courrait avec agilité, silencieux comme une âme, ses pieds effleuraient seulement les pavés délabrés, ses pas projetant de courts jets de cailloux mélangés à une légère fumée de poussière … Tandis que ces cheveux blonds se courbait sous le vent …
Bien qu’épuisé, affaiblit par de nombreuse nuit sans sommeil et par la faim, il avait encor tout son souffle car c’était un gars des rues. Il aurait put continuer à ce rythme jusqu'à la fin de la journée…
Il se demandait qu’elle erreur terrible il avait commis lors de son cou pour qu’on le repère, il avait pourtant été discret, agit rapidement,…
Courant maintenant, le jeune homme n’avait plus guère le temps de réfléchir, de penser …tous ces flics que foutaient il la ? Il n’ y en avait plus depuis des années ! Pourquoi ce cou avait’il foiré ? Qui étaient l’idiot qui les avait dénoncés ? Ces clients, tous morts ! Les forces de l’ordre le traquant…
Non ! Il n’avait plus le temps d’y repenser. Cela n’était d’ailleurs pas bon de faire une analyse d’une situation passait alors que l’on est traqué !
Lorsqu’il atteignit le bout de la rue, s’avérant être une impasse, les ordres lançaient par les commandants de la milice se firent plus pressants. Il aperçut le chef de file gagnait du terrain le long de la ruelle. Il se mit alors à escalader le mur à toute allure, lâchant de temps à autres des jurons …