Après le travail (libre^^)

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Aujourd'hui, ça avait été une journée banale, sans grand remous et sans grand clients. Comme toujours, Lyah c'était levée, dans une petite cachette à peine plus grande qu'un trou à rat. Elle avait manger un bout de pain, histoire de ne pas tomber dans les pommes pendant son travail, et s'était élancé dans les ruelles mal fammées avec son maigre trésors sous le bras. Aussi vite que ses petites jambes lui permirent d'aller, elle chercha ses premiers clients.
Une fois trouvé, ce n'était jamais dure de les reconnaitres, la plupart du temps ils étaient mieux habillés que les gens qu'elle cotoyait, et, si ce n'était pas le cas, c'était eux qui là reconnaissait, par habitude, Lyah vendait son présent et ramassait l'argent. Puis, elle courrait ou marchait quand les forces de l'ordre étaient présente, jusqu'a la cachette de son chef ou boss, appellez le comme vous voulez. L'argent, elle ne le gardait pas pour elle, bien sur que non, dans ce cas là elle serait traquée et tuée avant d'avoir vu ce qu'était la liberté. Et, au contraire, elle donnait la poignée de dollars a Mr et reprenait un paquet qu'elle revendait, ect...

Et, comme tous les jours, Lyah gagnait de quoi manger.
C'est justement ce petit bout de pain au fromage qu'elle tenait dans sa petite menotte qui constituait sa cagnotte journalière. Et, comme tout enfant ayant connu les restrictions et la fammine, Lyah dégustait son présent avec toute la lenteur dont elle était capable. Et, pour que personne ne viennent là deranger, elle avait décider de diner dans l'endroit le moins probable pour manger: les égouts.
Seulement voilà, elle ne savait pas qu'elle n'était pas seule ici. Non, au contraire, elle vagabondait, un large sourire sur le visage et ses vêtements sale virvolletant au grès du vent lourd d'odeur nauséabonde. On aurait dit une rose dans un tas de fumier...

Elle riait, dansait et le coeur léger, elle semblait étrangère à sa misère. Pourtant, sur ses traits fin de jolie petite fille, Lyah semblait porter un fardeau que seul porte les enfants qui n'ont pas connu d'amour connaissent. Mais, pour le moment, personne ne pouvait se douter que Lyah était une jeune fille mal aimé et seul au monde.

Nombre de messages : 243 Age : 36 Date d'inscription : 26/07/2007

Katerina devait encore une fois remplir un contrat et cette fois-ci personne ne devait la voire se promenner a travers la ville elle décida donc de passer par les égout elle marchait donc perdue dans ses pensées ses 44 magnun chrger a bloc elle se préparrait a tuer sa cible elle se faufillait toujours indéférente a l'odeur ayant revêtue son grand manteau noir virevoltant derrière elle , elle n'avait pas pris son katana elle aurait attiré l'attention beaucoup trop, elle marchait toujours quand elle entendit des pas quelqu'un avait l'air de s'amuser proche sans faire de bruit elle se rapprocha et stupéfaite se retrouva juste devant une petit fille avec un bout de pain ridicule dans la main et des vêtements en loque elle la regarda toujours interdite une enfant pauvre c'était pour eux tous et des principes qu'elle se battait elle sourit a la jeune fille gentiment et dit:

Bonjour a toi qui es-tu?

Elle lui sourit gentiment mais toujour une minuscule lueur pressé dans le regard et attendit de voir la réaction de la jeune fille gener elle savait être trop bien habiller pour avoir l'air de autre chose qu'une riche jeune femme pourtant elle ne pouvait rien faire c'était ses vêtements habituelle....

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"La,la,la,la,la", ce jolie refrain dansait dans sa tête. L'enfant n'avait aucune idée de qui le lui avait chanté, mais elle n'ignorait pas que cette comptine enfantine était très belle et remplis de promesse d'avenir.

"Une petite fée, tournait perdue dans ses pensées..."

Qu'était-ce qu'une petite fée? Lyah l'ignorait complètement. Pour elle, seul son monde lui était familié, tout le reste, elle ne connaissait pas...
C'était drôle, qu'une enfant de 12 ans ignore le monde fantésiste et tellement riche en rêves alors que cela devrait être son quotidien.
Mais, pour Lyah, il n'y avait que son patron, son repas et ses jeux dans les égouts remplis de saletés repoussante.
Mais, elle ne se pleingait pas, et pour cause, elle ne connaissait rien d'autre...

Chantant et dansant, elle oubliait le monde qui l'entourait et le remplissait d'amour qu'on ne lui avait jamais donné. Elle voyait les choses comme une enfant et non comme une adulte. Pour elle, rien n'était plus beau que le monde imaginaire qu'elle avait crée dans sa tête. Il ne ressemblait en rien à celui des autres enfants, mais était tout aussi beau...

Puis, soudainement, comme une lame tranchante qui vous rentre dans la peau, une voix la sortie de ses rêves.
Lyah se retourna, le visage encore marqué par la joie et toisa l'inconnu de son regard surpris. La femme, car il s'agissait bien là d'une femme, était très belle et portait des vêtements que les gens d'ici ne pourraient jamais s'acheter, même en économisant toute une vie.
Elle semblait précé, ou inquiète de quelque chose. Lyah ne savait pas très bien, et c'était trop demandé à une petite fille de comprendre les adultes. La plupart du temps ils s'en font beaucoup pour peu de choses.
Ecoutant la question qu'on lui posait, Lyah eu l'audace d'y répondre au lieux de faire ce que son corps lui dictait "fuire". Alors, se tenant très droite, les mains serrant son petit trésor, la petite fille dit d'une voix claire et précise:

-" Bonjour! Je suis une petite fille! Et vous? Vous êtes une fille de là bas?"

Elle leva sa main et montra du doigt l'endroit où se trouvait la ville, la VRAI ville, celle où les gens aisés habitent, dans des VRAI maisons.
Lyah n'avait jamais rencontré de femmes comme elle...

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Katerina sourit a la jeune fille tout en regardant le plafond toujours sur ses gardes écoutant les moindres briut de égouts quelque part un peu plus loin un rat déplacait une canne de conserve un remoputs se fit dans l'eau et un cailloux se détacha d'un mur faisant un rafut incroyable et heurtant une autre canne le rat prit peur et déguerpit elle redescendi les yeux et dit tout en toisant tranquilement la jeune fille:

On peut dire ca comme ca je suis de la haut ... tout en prononcant ces paroles elle désigna du dougt le plafond et ajouta.... ne t'inquiete pas je m'en vais n'ais pas peur de moi je doit seulement me rendre a un endroit et je passait par ici mais je m'en vais je ne voulais pas te déranger.

Tout en disant ses mots elle sourit a la jeune fille et pria le ciel qu'elle ne lui poserait pas de question. Sinon elle devrait et ca lui brisait le coeur la tuer mais elle était incapable d'y penser ou même de s'y résoudre elle baissa les yeux et attendit de voir ce que ferait la jeune fille.

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Encore plus surprise que la jeune femme lui adresse la parôle encore une fois, Lyah ecarquilla ses beaux yeux bleu remplis d'une tristesse à vous fendre le coeur. Pourtant, sur son visage, un sourire d'une vrai joie s'était inscrit en entendant les simples mots de son interlocutrice.
Ainsi, elle venait du monde d'en haut. Ce n'était pas une blague, c'était vraiment une femme des beaux quartiers, celles qui vivaient dans des maisons et mangeait de la nourriture sans faire attention à ce que ce soit trop ou trop peu pour elle... Ainsi elle était de ceux qui avaient plusieurs vêtements, qui sortaient dans la rue sans avoir peur de se faire attaquer, et peut être qu'elle avait un esclave ou deux...
Lyah ne savait pas très bien ce qu'étaient des esclaves, mais par contre était sur de ne pas vouloir en être une. On disait que leur vie était un enfert, et Lyah était persuadé que la sienne était un rêve à côté de la leur. Pourtant, cela ne devait pas être le cas, vue la misère dans laquel elle se trouvait...

Une fois s'être remise de ses émotions, l'enfant ouvrit la bouche et dit ces quelques mots:

-" Vous n'êtes pas une femme normale vous... Personne ne s'est jamais inquièté pour moi, et personne ne m'a jamais dit qu'on me dérangeait."

Elle continuait de sourire puis mit son bout de pain à la bouche avant de le macher lentement et d'ajouter:

-" Vous êtes gentille Madame... Les autres m'auraient voler mon pain."

Les yeux brillant de malice, elle s'avança de la femme et leva sa main vide.

-" Vous voulez que je vous accompagne? Je connais bien ici, et je m'ennuie un peu..."

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Katerina fut étonner que la jeune fille lui propose son aide et lorsqu'elle lui tendit la main elle lui souria , la jeune fille parassait heureuse mais Katerina voyait bien la tristesse qui émanait de la petite fille elle ragarda sa montre et remarqua qu'elle devait partir tout de suite si elle ne voulait pas arriver en retard elle regarda la jeune fille et dit:

Non ca iras je sais ou me diriger mais tient profites en et achete toi de nouveaux vêtements et de quoi mieux te nourrire...

Tout en prononcant ces mots elle sortit une liasse de billet et la tandis a la jeune fille qui s'en emparra puis elle se mit a courrire et tout en faisant un sigen d'aurevoir a la jeune fille et dit:

J'ai été plus que ravies de te rencontrer et je m'excuse de partir comme ca désolé.

Puis elle se fondit dans la masse noir des égouts ne laissant derrière elle aucunne trace de son passage.

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