La Cité de la Joie
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 Appartement 375 [*WARNING/]

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Artémis Myona

Artémis Myona


Féminin Nombre de messages : 94
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Feuille de personnage
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MessageSujet: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeSam 1 Sep - 1:17

Tandis qu’elle s’empressait d’ôter le maximum possible d’eau de ses vêtements, elle n’avait put s’empêcher de remarquer du coin de son œil un mouvement esquissé par Kiba. Instinctivement, elle eut le réflexe de regarder subtilement ce qu’il faisait et elle vit rapidement qu’il avait retiré son t-shirt pour pouvoir l’essorer. Évidement elle ne put que remarquer les muscles bien définis de son torse, et eut soudainement le goût de s’y réfugier de nouveau. Un autre coup de vent passa, la ramenant à la réalité : elle avait froid et pourrait rêvasser de Kiba plus tard. Terminant de boucler la dernière strap, elle se tourna vers lui et lui proposa de se rendre à un endroit plus chaud (qu’elle puisse finalement enfiler des vêtements chaud)—bon sang qu’elle gelait! Il l’observa quelques instant, le regard admiratif, avant de répliquer calmement sa voix grave et agréable réverbérant dans le silence du parc fermé.

-Je suis d'accord sur le principe, tu sais ou nous pourrions aller?


Oh, oui, qu’elle savait où qu’ils pourraient aller : quelque part de Chaud !—oui, bon, vous comprenez qu’elle avait très froid—c’est certain, mais aussi quelque part où ils pourraient simplement profiter de la présence de l’un et l’autre sans devoir sans cesse être aux aguets pour des attrapeurs de Pets, en autre. Et c’est certain qu’elle n’allait pas ramener son ami—oui, bon, mettons qu’il n’était que son simple ami—à la villa de son « maître ». Ah ça non. Mais, il y avait une autre solution et elle allait en profiter pleinement.

-Oui. Répondit-elle simplement, ses yeux brillants légèrement d’espièglerie : elle n’allait pas lui dire où ils allaient.

-Un endroit calme où l’on pourra trouver refuge, fit-elle simplement, refusant d’en dire plus que ça—à quoi bon ? Il allait bien voir l’endroit dans quelques minutes, non ?

Le regard charmeur, elle retourna vers lui et lui offrit un long baiser enflammé, qui l’aida à regagner un peu plus de chaleur, avant de s’esquiver, jetant un regard par-dessus une épaule frêle, l’incitant silencieusement à la suivre, ses grand yeux vert émeraude mystérieux et séducteurs. Le genre de regard qui attire les hommes de la façon que la lumière vive attire les insectes.

Les deux Pets retracèrent leur pas et passèrent la grille du Hyde Parc de la même manière qu’avant, c'est-à-dire, en sautant d’une branche d’un arbre au sommet de la muraille coupant le parc du restant de la cité, dans un petit cocon d’intimité.

Comme il y a quelques heures, l’adolescente guida aisément son compagnon dans les dédales et labyrinthes sans fins de la cité de la Joie; passant par les toits le plus souvent possible, pour pouvoir éviter les rues fourmillant de crime et de gens exécrables. Peu à peu ils s’éloignèrent des gazons et habitations esthétiques et soignés des riches et puissant de la ville pour se retrouver dans les quartiers moins…impressionnants de Suburbia. Finalement après quelques minutes elle s’arrêta sur le toit d’un immeuble qui pourrait très bien servir de bloque d’appartement. Artémis regarda autour d’elle, comme si pour s’assurer qu’ils étaient au bon endroit.


-Ça devrait être ici…
murmura-t-elle plus pour elle-même que pour quiconque autre.

Avec un autre regard indéchiffrable et mystérieux mais terriblement attirant—et qui lui faisait clairement signe de la suivre de nouveau—elle s’approcha de sa démarche gracieuse et légerte de la porte du toit qui servait pour se rendre de l’intérieur de la bâtisse au toit. Ils s’engouffrèrent dans une cage d’escaliers et sortirent au niveau juste en dessous du toit—c'est-à-dire le dernier étage du bâtiment—et s’engagèrent dans un couloir au multiples portes identiques, divergeant seulement au numéro qui y pendait. À mi chemin du couloir l’adolescente allemande s’arrêta devant la porte affichant le nombre 375.


-Nous y voilà, informa-t-elle calmement à Kiba, tirant une clé de son sac et la passant dans la serrure. Un faible vrombissement se fit entendre et un panneau ouvrit sur un clavier du numéro 0 à 9. Rapidement Artémis composa un code et, avec un déclique, la porte s’ouvrit. Arté pénétra dans la pièce la première, ouvrant tout grand la porte pour Kiba, l’invitant à rentrer.

Une fois qu’il eut passée le cadre de la porte, elle referma la porte derrière eux, la verrouillant, et pressa sur quelques boutons, allumant les lumières de la chambre qui s’avéra être un chique petit appartement à deux chambres à coucher, ainsi qu’un salon, une cuisine et une salle de bain. Visiblement heureuse d’être entrée au chaud, Artémis le précéda, s’arrêtant à la fin de tapis pour ôter ses bottes, continuant sur les dalles de céramique les pieds nus.


-On vient presque jamais ici,
dit-elle à Kiba, laissant choir son sac d’armes sur une chaise.

-Juste en cas de besoin, comme se soir, ajouta-t-elle avec un demi sourire.

Tandis qu’il regardait autour de lui, Artémis en profita pour se débarrasser de ses vêtements complètement détrempés. Sans aucune gêne—les laboratoires avaient étés tellement plus pire—elle ôta son coton watté—également mouillé—ainsi que sa camisole et ses jeans. Ne portant que son soutien gorge—qui était beaucoup plus un corset, c'est-à-dire couvrant la majorité de son ventre et se seins, qu’une simple brassière—et ses sous vêtements—du style boxers pour garçon, mais pour les filles—elle ramassa ses vêtements, ne remarquant même pas les regards incrédules qu’aurait put lui lancer le Pet. Elle n’était pas nue, non ? Où était le problème alors ? Évidement la, euh, "tenue" qu'elle portait à se moment laissait à la fois grandement à l'imagination et pas; visible sur le haut de sa hanche était le bandage que lui avait fait Kiba lorsqu'elle avait été touchée, ce qui aurait besoin d'être changé, considérant le dommage qu'il avait subit dans l'eau.

Elle entra dans la chambre de bain et ouvrit les doubles de portes de l’armoire qui était en vrai une sécheuse et une laveuse. Elle fourra ses vêtements dedans, mais ne le partit pas; il manquait les vêtements de Kiba également—mais elle n’allait pas lui dire de se dévêtir devant elle s’il n’en avait pas le goût, car elle avait réalisé à sa sortit des laboratoires au conditions inhumaines, que certains étaient plus pudique que d’autres. Qui était-elle pour les critiquer ?

Donc, toujours sans ressentir la moindre gêne, elle s’approcha de la porte de l’une des chambres à coucher. Elle pressa sur un panneau près de la porte qui se coulissa pour découvrir un autre clavier. L’adolescente rentra un autre code. Oui, peut-être étrange, mais il y avait une raison bien simple : cette pièce n’était pas du tout une chambre à dormir…

La porte se coulissa pour découvrir… une salle d’armement. Tout était construit de métal reluisant et la porte était renforcée pour ne pas permettre l’entrée à ceux qui ne connaissait pas le code. Derrières des grilles et vitres pendaient de centaines d’armes, passant par les révolvers aux automatiques et des coutelas aux sabres, y comprenant certaines bombes lacrymogènes. Bref, une salle très bien armée. Artémis déposa son sac sur l’un des comptoirs—elle l’avait ramassé en sortant de la salle de bain—et se dirigea vers des tiroirs, qu’elle ouvrit pour découvrir des vêtements. Elle s’en choisit quelques-uns, qu’elle plaça sur le comptoir avant d’aller fureter un peu, sortant enfin des habits masculins.


-Tiens, je crois qu’ils devraient te faire. Fit-elle en les tendant à Kiba. Puis, incapable de s’en empêcher; elle se rapprocha de son confrère tigre—toujours en portant que ses sous vêtements—et l’embrassa longuement et tendrement, la chaleur affluant à chacun de ses membres engourdit de froid.

-Je te laisse t’habiller, susurra-t-elle, déposant à regret un dernier baiser sur ses lèvres avant de prendre ses vêtements et quitter la pièce, lui laissant la chance de s’habiller seul, sa queue dorée traçant de doux arabesques dans l’air.

Elle retourna dans la salle de bain et se glissa dans les vêtements qu’elle s’était choisie et qui lui correspondaient beaucoup plus. Vraiment les jeans flottantes et les gros cotons wattés ne lui allaient pas du tout, elle préférait de loin l’élégance du cuire et la praticabilité des vêtements qui épousent plus les formes—ainsi lorsque l’on attaque on ne s’enfarge pas dans ses propres habits. Ainsi elle revêtit des jeans noirs et un chandail à manches longues également noir. Beaucoup mieux. En attendant que Kiba se décide à ressortir de la salle d’armes elle se trouva une brosse et se mit à débarrasser sa tignasse blonde de ses nœuds—ce qui est inévitable lorsque l’on va se baigner—en profitant aussi pour ôter l’excès d’eau de leurs longueurs blondes.


Dernière édition par le Mer 2 Jan - 9:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeSam 29 Déc - 16:06

je suis en vacance, et j'ai du temps libre, je reprend le Rp;)

-Oui.
Les mots s'échappèrent voluptueusement de la bouche de la jeune pet, et vinrent se glisser dans l'oreille de son amis qui lui lança un regards incrédule, tandis qu'il fixait avec une curiosité à peine dissimulé les yeux reluisant d'espièglerie de son celle qui lui avait tenue compagnie dans l'eau glacé du lac.

-Un endroit calme où l’on pourra trouver refuge, déclara-t-elle simplement, jouant la carte du mystère, peut-être afin d'attiser encore un peu les braise de la curiosité qui se ravivait peu a peu dans ce pet, qui était de plus en plus curieux de connaître la jeune pet, qui l'intriguait de plus en plus...

Puis dans ce mouvement gracieux si caractéristique des félins elle s'approcha de lui pour déposé sur ses lèvres un baiser digne des plus grand film de James bond, faisant frissonner le pet de la tête au pied, elle se retira doucement, rompant le lien, fit demi-tour, prête a partir, et conte toute attente, elle s'arrêta dans son élan pour lui lancer un regard taquin pardessus son épaule droite, ce genre de regard que seul les femme savent faire, ce type de regard qui ferait fondre les glacier et qui éveille les montagne, un regard qui aurait attiré le plus croyant des prêtre...
Il fixa un instant ses grand yeux d'un vert émeraude, avant de la voir s'élancer avec grâce vers les branche des arbre, s'échappant du parc qui avait été la terre dans laquelle avait germer la graine de leur amour.
Le pet resta un instant interdit, ses pensée encore fixé sur le regard de son, amie, puis revenant à lui et réalisant qu'il allait se faire distancer, il se mit à courir, de plus en plus vite, avant de s'élancer dans les airs tel un félin bondissant sur sa proie, se servant d'une branche qui paraissait plus solide que les autres pour bondir sur un tronc, auquel il restait accrocher grâce a ses griffes, le temps de contracter les muscle des ses jambe, qui lui accorderont la détente suffisante pour se projeter sur un autre point d'appui.

Eh; attend moi! Déclara-t-il tandis qu'il tentait de rattraper la jeune femme, qui progressait avec une vitesse incroyable dans les arbre, enfin, incroyable,pour un humain normale...

Il poursuivit ainsi sa jeune amie d'arbre en arbre, de muret en muret et ainsi de suite, prenant les devant par habitude, puis ralentissant, pour la simple et bonne raison qu'il ne savait absolument pas ou il se rendait, d'ailleurs, cela n'était pas vraiment son habitude, suivre des personnes qu'il connaissait si peu, sans poser de questions, ni opposer une quelconque résistance...

Il la suivit ainsi durant de longue minute, puis, changeant de décor mais pas de mode de déplacement, il continuèrent sur les toits des rues, évitant les ruelle sombré et encrassé dans une vie de luxure et de débauche, dans les crime infâme comme justifié qui faisait de cette cité la plaie purulente qu'elle était.
Il regardait les toits, et le ciel étoilé qui était, les seul endroits, ou il pouvais poser son regards sans risquer de le regretter, bien qu'il ne manquait pas de regarder sa guide, qui semblait se repérer sans problème dans se dédale de rue, ou une chatte n'aurait pas retrouver ses petits...
Bientôt les ravissant quartier de la ville riche disparurent, laissant apprêterai les immeuble, parfois délabré de Suburia, c'est la qu'il avait vécue, mais maintenant qu'il avait vue les quartier riche, il comprenait vraiment la misère, des gens, et en voulait encore plus qu'avant a ce qui profitaient de se désastre.
Il entendit la jeune fille murmurer quelque chose, mais ne parvint pas a comprendre quoi, il s'apprêtait a lui demander de répéter lorsque, d'un autre de ses regard de braise, elle l'invitait a la suivre, s'approchant de sa démarche légère et voluptueuse de la petite porte en mauvais état, sensé séparé le toit du reste de l'immeuble, elle l'entrouvrit, et se faufila alors dans une cage d'escalier sombre, suivit par kiba, un être normale se serait sûrement cassé les deux jambe dans un pareille endroit, si peu éclairé, mais elle, tout comme lui d'ailleurs voyait parfaitement dans le noir, enfin s'il n'était pas complet, et il arrivèrent ainsi devant une chambre dont le numéro était 375, sans attirer l'attention ni même allumer la lumière, leur yeux seul reluisant dans le noir d'une lueur étrange et mystique.

-Nous y voilà, annonça-t-elle a son poursuivant, qui, la regardait, intrigué par la petite clé qu'elle venait de sortir de son sac, elle l'enfonça dans la serrure, qui émit un léger déclic au moment ou cette même clé tournait.
Un panneau, pas plus gros qu'une tablette de chocolat milka, sortit du mur.
Dessus était fixé des touche, numéroté de 0 à 9, un clavier numérique en quelque sorte, clavier sur lequel la jeune pet tapa rapidement et furtivement un code, qui commandait l'ouverture de la porte.
Les oreille de kiba se redressèrent, lorsqu'il un second déclic, qui semblait cette fois provenir de la serrure et non pas du mur, la porte s'ouvrit un instant après.
La pet s'y engouffra en première, suivit de près part kiba, qui était un brin étonner par le système de protection de la pièce, il la laissa refermer la porte, puis la regarda appuyer sur des bouton, et soudain la lumière fut.
La rétine du pet se contracta violemment, tandis qu'il appliquait ses main sur ses yeux, qui s'était parfaitement accoutumé a la pénombre était totalement éblouit par une lumière si soudaine et si vive.

La vache, c'est violent! s'éxclama-t-il, tandis qu'il plissait les yeux, le temps de s'adapter à l'éclairage.
Le pet s'approcha un peu du centre de la pièce, c'était un joli petit appartement, avec deux chambre ou dormir, une cuisine, une salle de bain carrelé, enfin un jolie appartement quoi!
Kiba la regarda ôter ses bottes, et en fit de même pour ce qu'il restait de ses chaussures...

-On vient presque jamais ici, dit-elle a kiba qui se demandait bien pourquoi...
-Juste en cas de besoin, comme se soir, ajouta-t-elle avec un demi sourire, que le pet lui rendus.
Le pet la regarda retirer ses vêtement, il fut tout d'abord surpris, et ne pu s'empêcher de laisser son regard se promener le long du corps svelte et gracieux de la jeune pet, après tout elle n'était pas nue,
et cela ne la mettait pas mal à l'aise...
Le pet soupira d'aise, soupir qui fut suivis d'un frisson, un frisson qui était un mélange de plaisir mais de froid aussi, il retira les vêtement qu'il portait sur lui, sa chemise trempé qui épousait les forme de son torse musclé, et les jeans, tout aussi trempé qui était d'ailleurs bien lourd ainsi imbibé...
Kiba s'approcha lentement de la jeune, femme, regardant ses hanche, il approcha sa min et caressa avec une infinie délicatesse le bandage qu'il lui avait fait quelque minute auparavant, ce dernier étant trempé, et ce décollait par endroit.

Il va falloir le changer je crois... tu as ce qu'il faut ici? S'inquiéta le pet, qui n'avait même par remarquer que son propre bandage était rester accroché à sa chemise...

Elle s'approcha ensuite de la laveuse-essoreuse déguiser en armoire dans laquelle elle fourra ses vêtements suivis de ce de kiba, qui regardait la machine, il n'avait eu l'occasion de laver ses vêtements très souvent, en faite il ne pouvait les laver, il devait se contenter de changer, et de jeter ce qui se trouvait être trop sale...
Une fois cette action terminé, elle se dirigea de nouveau vers la chambre à coucher dans laquelle elle composa une nouvelle fois un code qui ouvrit un mur, qui cachait une salle d'arme faîte de métal, de fer et d'acier.
La salle reluisait, amplis de différente arme a feux, ou armes blanche, il y avait la de quoi attaqué un bâtiment, seul manquait les explosif, mais le pet se doutait qu'il devait seulement être caché dans un autre endroits de la pièce...
Le pet regardait les arme, dos a son amie, et un question lui vint à l'ésprit
quelle était son métier?, question que le pet chassa rapidement de sa tête, ce n'était pas la peine de le savoir, chacun avait son fardeau à porter, chacun avait ses coter sombre qu'il ne fallait pas monter au grand jour.
Le pet passa délicatement ses mains sur la crosse d'une arme, il la fit voltiger entre ses doigts à la manière dès cow-boy, puis, après avoir tendu son bras gauche, il posa brusquement le canon de l'arme sur son avant bras, fermant l'oeil gauche.
Quelques seconde s'écoulèrent avant qu'un sourire carnassier mettant en valeur ses crocs apparaissent sur son visage.

Parfaitement équilibré... murmura-t-il, avec une admiration certaine.
Il reposa l'arme, puis voulut saisir un katana, lorsqu'il se souvint qu'il n'était ni chez lui ni chez l'armurier, aussi il ravisa sa main quelque peu baladeuse et se retourna, laissant seul cette salle qui l'attirait comme une fourmis attiré par le sucre.
Le pet, voulut tout d'abord mettre ses mains dans ses poches, afin de ne plus être tenté, mais il se rendit compte qu'il n'avait pas de poche, ce qui était logique étant donné qu'il était en caleçon.
Il se sentit légèrement gêné, et s'empourpra très légèrement, d'une manière qui aurait été imperceptible pour les humains... normaux.
Le pet regarda furtivement le plafond, lorsque son amie réagit.

-Tiens, je crois qu’ils devraient te faire. Fit-elle en les tendant à Kiba, après quoi elle s'approcha de lui, maintenant les vêtements dans ses bras, ses yeux verts se plissant lentement tandis que ses lèvre voluptueuse et sensuelle venait a l'encontre de celle de kiba, qui ferma les yeux, a son tour, envoûté par la sensation divine qui peu à peu affluait dans son corps, pénétrant son corps par ses lèvres, l'emplissant d'une sensation de chaleur intense qui réchauffait chacun de ses membres.
Répondant à l'appel qu'elle avait déclenché, il s'approcha a son tour d'elle collant son corps ardent contre celui d'artémis.
Leur lèvre se séparèrent de quelques millimètre, laissant entre eux juste un souffle dans lequel elle murmura:
-Je te laisse t’habiller, avant d'accorder un dernier baiser fugace a son amie qui lança un regard envoûtée, tandis qu'elle quittait la pièce de ses pas léger et velouté, sa longue queue tigré traçant des signe cabalistique gracieux derrière elle.

Le pet la regarda sortir et fermer la porte, tandis qu'il se rendait compte de sa chance, et de l'effet que cette jeune fille, quasiment nue pouvait produire sur son corps....
Kiba se dépêcha d'enfiler le jean noire qu'elle lui avait donner, la chemise blanche, le pull gris rayé noir, et la veste de cuir sombre.
Le pet se regarda dans les reflet métallique de la pièce au arme, et mis à part les manche qui était un peu trop courte, la tenue semblait lui aller parfaitement.
Le pet fit quelque mouvement d'assouplissement, afin de mieux se sentir dans les vêtements, et après un saut périlleux arrière réussi il jugea que ses derniers lui allait bien.
Il s'approcha subrepticement de la porte de la salle de bain ou il entendait un bruit de séchoir, et y toqua trois fois.

Je peux entrer,
s'enquit le pet tandis que sa queue battît frénétiquement le rythme de son coeur, fouettant l'air derrière lui.

Lorsque les cours ont reprendre, je pourrait plus Rp,il va donc falloir tuer ce personnage...
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Artémis Myona

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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeMar 1 Jan - 10:42

[hrp: malheureusement. Crying or Very sad C'est quand que tes cours recommencent ? ]


Artémis ne s’était pas vraiment rendue compte du regard vagabondeur que porta Kiba sur elle lorsqu’elle se libéra de ses vêtements alourdis d’eau. Ce n’est qu’en entendant son petit soupir qu’elle se retourna—brièvement—pour remarquer qu’il retirait ses habits lui aussi. Un demi sourire esquissa l’espace d’une seconde à la commissure de ses lèvres avant qu’elle ne se retourne subtilement vers l’avant, retournant son attention sur ce qu’elle faisait. Il n’était pas gêné lui non plus, alors. Parfait, car si oui, il se serait sentie incroyablement mal-à-l’aise avec elle. En boxeurs, il fit un pas vers elle, dans son dos et une main vînt effleurer d’une infime douceur l’endroit où elle avait été blessée par la balle.

-Il va falloir le changer je crois... tu as ce qu'il faut ici? demanda-t-il, une pointe d’inquiétude percevable dans sa voix. Une faible étincelle d’amusement allumant son regard vert elle répliqua :

-Oui, oui. Je sortirais le nécessaire après que nous nous sommes réchauffés. l’assura-t-elle, avant de se dégager de son touché avec regret et se diriger vers l’armoire contenant la laveuse et la sécheuse.

Après avoir remplit la laveuse de leurs vêtements sales et l’avoir démarrer, elle s’approcha—toujours aussi silencieusement—d’une des portes menant à des chambres à dormir. Elle composa le code et pénétra dans la pièce qui se révéla être une salle d’armement. La jeune pet était tellement habituée de voir des salles d’armes si bien équipée qu’elle ne fut pas éblouie par cette vision, mais procéda plutôt à aller prendre ce qu’elle était venue chercher, c’est-à-dire : des vêtements pour Kiba et elle. Un léger bruit métallique et un bref coup d’œil l’enseignèrent que son compagnon s’amusait grandement à manipuler les armes librement exposées sur les murs.


-Parfaitement équilibré... murmura-t-il avec une admiration non feinte. Cela tira un autre discret sourire à Artémis qui se promit de lui laisser la chance plus tard de bien explorer cette pièce. Mais pour le moment présent—bien qu’elle regretterait de ne plus pouvoir détailler son corps—il était temps pour eux de s’habiller avant d’attraper froid.

Quelques instants plus tard, elle revînt vers lui, tenant quelques pièces de vêtements pour homme sur son bras. Elle les lui tendit, avec la ferme intention de le laisser s’habiller en paix. Mais définitivement, il semblait exercer sur elle l’attraction d’un aimant car elle se retrouva l’instant d’après à quelques centimètres de lui, sa bouche fusant à la sienne pour un baiser incandescent qui la laissa fébrile, chaque parcelle de son corps allumée comme si un feu se consumait en elle. Fiévreusement, Kiba l’enlaça, la ramenant contre lui de façon qu’elle pu sentir sa peau nue et tiède contre la sienne qui se mit instantanément à se réchauffer à son contact.

Leurs lèvres se séparèrent pour leur permettre de respirer. Artémis pouvait sentir le pouls frénétique de son cœur dans sa gorge et les vibrations consumantes de son désir dans tout son jeune corps. Avant qu’elle ne faiblisse de nouveau, elle lui murmura qu’elle le laissait s’habiller avant de s’extirper doucement de son étreinte et de quitter gracieusement la pièce, refermant délicatement la porte derrière elle. Elle s’empressa—sans sembler se dépêcher—de rejoindre la salle de bain et s’y engouffra en fermant la porte derrière elle avec un doux déclic. Elle s’accota le dos contre la porte et ferma les yeux, tâchant de respirer profondément pour calmer la passion qui était montée en flèche en elle. Elle avait eut tellement envie de lui au moment que leurs peaux s’étaient frôlés. Un désir tellement puissant et primal qu’elle en avait eut peur. Qui aurait crût qu’un simple contact aurait put éveiller une telle chaleur en elle ?

Reprenant contenance, elle brancha le séchoir et entreprit de se sécher les cheveux, ce qui ne prit que quelques minutes ; ses cheveux n’étant pas aussi long que cela, après tout. C’est une faible douleur au niveau de sa hanche qui lui ramena à l’esprit son incident. Déposant le séchoir—encore ouvert—sur le comptoir, elle releva son chandail noir—du style japonais qui croise en avant du buste—et baissa légèrement ses jeans noir découvrant la plaie qui s’était remise à suinter. Faisant la moue, Artémis se mit à fouiller dans les tiroirs et armoires de la salle de bain, sortant diverses médicament et pansements pour appliquer sur sa blessure.

C’est au moment qu’elle allait déboucher l’un des pots de slave qu’elle crut entendre un bruit de l’autre côté de la porte. Ses oreilles pivotant dans la direction du son, elle ferma le séchoir juste à temps pour entendre :


-Je peux entrer ? c’était Kiba, bien entendu.

Le chandail toujours remonté autour de sa taille, elle marcha jusqu’à la porte et s’ouvrit doucement pour voir—comme elle s’y attendait—la figure de son ami-tigre.


-Certainement. répliqua-t-elle avec un calme et doux demi-sourire—même si son cœur s’était remis à tambouriner à sa vue—l’invitant à rentrer d’un geste de la main.

Dans un effort de tenter de se calmer, elle s’approcha de nouveau du comptoir—où était sortie la trousse de premiers soins—et baissa le regard sur l’équipement, se concentrant sur cela pour tenter de ne pas trop aviver les sentiments qui bouillaient sous sa surface sereine et posée. Sentant du mouvement derrière elle, l’adolescente releva de nouveau les yeux et observa la réflexion de Kiba dans le miroir suspendu au-dessus de l’évier.


-Tu as l’air charmant. le complimenta-t-elle, l’appréciation dans sa voix ainsi que quelque chose d’autre. Une petite intonation subtile, mais qui capte immédiatement l’attention et vous font regarder de nouveau avec plus d’attention. À travers la glace c’est ses yeux, deux flamboyant iris émeraude ; pétillant d’admiration, sombres de mystère et embrassés de, de…enfin de quelque chose d’irrésistible.

Puis, l’instant passa et Artémis brisa le contact visuel en baissant son regard sur sa blessure, ses cheveux ambrés créant une cascade d’or devant son visage. Visage qui—pendant une fugace seconde—avait révélé la chaleur ardente de ses émotions au jeune homme. Mais la question était celle-ci : saurait-il interpréter ce que ses yeux lui avait montré ? Et qui de plus ; agirait-il sur ce qu’il venait de découvrir—de manière on-ne-peut-plus-claire ?
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeMer 2 Jan - 2:09

Il reprennent d'ici quatre ou cinq jour :'(

Les lèvres des deux pet, dont les ombres des visages qui formaient un coeur, se séparèrent, brisant la charmante ombre chinoise, tandis que chacun inspirait une bouffé d'airs frais.
Le pet pouvait ressentir monter en lui un désir ardent, d'une force bestiale, presque effrayante.
Il la regardait, son doux visage, son corps esquissé, secoué de très léger spasme quasi-imperceptible, ses lèvres sensuelle et accueillante, sa chevelure d'or miroitante, ses yeux de jade chatoyant.... tout cela formait un portait qui attirait kiba d'une force incommensurable.
Il parvenait a entendre coeur, son coeur qui battait un rythme primaire, sauvage et fougueux, martelant sa poitrine de l'intérieur,résonnant avec force, tel un tambour dans ses tympans, son coeur qui s'emballait sous les effluves du parfum si agréable et délicat de sa jeune amie, son coeur qui battait comme jamais, d'une force inimaginable, simplement à cause du contact de la douce peau d'Artémis sur la sienne.
Il pu entendre son coeur battre a l'unisson avec celui de la seule autre personne présente dan la pièce.
Ses pupilles se dilatèrent d'un micron, tandis qu'un dernier et immatériel spasme d'un désir ardent secouait ses muscles brûlants.

Il s'apprêtait à la serrer plus fort contre lui, pour mieux ressentir le contact de sa peau si douce contre la sienne, et de l'embrasser d'un nouveau et long baiser fougueux lorsque la jeune fille, contre toute attente, se libéra de son étreinte amoureuse, pour filer dans la salle de bain de ses pas gracieux et léger, si léger qu'elle ne semblait qu'effleurer le sol, le sur-volant tel la déesse mythique dont elle portait le prénom.
Kiba la regarda s'éloigner et disparaître dans la pièce suivante, refermant la porte, rompant définitivement le contact qui s'était établie tandis qu'il soupirait, ses pulsions se calmant, -sans pour autant disparaître- lui permettant d'user plus de sa tête et moins de son coeur.
Il soupirait à la fois d'aise, ravis de ce moment unique, durant lequel il avait été tant charmé, mais aussi ravis d'être libère de l'envoûtement qu'elle exerçait sur lui.

Il prit une profonde inspiration, calmant son coeur qui s'était emballé à la façon des étalons sauvage et impétueux, compta jusqu'à trois et expira, vidant ses poumons de leur air, et a regret des dernière vapeur du doux parfum d'Arté.

Le pet s'étira, se vêtit rapidement, sans se presser, et se regarda dans les reflet argenté de la salle armé. Une fois que le résultat lui parut satisfaisant, il partit à la rencontre de son amie, qui s'était éclipsé dans la pièce d'à côté.
-Je peux entrer ? S'enquit le pet tandis qu'il entendait le bruit du séchoir s'estomper.
Il entendit des bruits de pas, très discret, puis vit la porte s'entrouvrir, tandis qu'apparaissait la silhouette de sa compagne, et son visage d'une beauté somptueuse et sans pareille.

-Certainement. Répondit-elle de sa voix envoûtante et sensuel qui rendait le pet si libidineux.
Le simple son de sa voix, raviva en lui la flamme incandescente du brasier qu'elle avait créer en l'embrassant, quelques instant avant, et qu'il avait eut tant de difficulté à ignorer.
Elle l'invita alors à pénétrer dans la pièce d'une ample geste de sa frêle main, chose que s'empressa de faire son ami.
Le pet l'admirait, se déplacer de sa manière si gracieuse, volant à la surface du sol, ses courbe si parfaite, sa silhouette svelte et frêle qui cachait la force animal dont elle disposait...
Il la regarda sortir la trousse de premier soins d'en dessous de levier, et l'observer avec attention, comme si elle cherchait quelque chose, ou cherchait à éviter quelque chose...
D'ailleurs le pet avait beau faire, il ne parvenait pas à penser à autre chose qu'a son amie, elle occupait dans son esprit une place de plus en plus grande, ce qui le gênait car sa changeait sa manière de raisonner mais qui lui apportait d'un autre côté le plaisir magistral de la connaître.

Kiba avança, se rapprochant de l'être qu'il aimait, car maintenant il en était sur, il l'aimait, chaque parcelle, chaque molécule, chaque atome de son corps la réclamait au et fort, au point qu'il ne pouvais que céder.
Il arriva derrière elle tandis que son coeur recommençait a battre la chamade, tandis que sa queue se balançait au rythme des pulsation frénétique et bestiale des sursaut de son âme.
Il regarda alors la plaie, ou plutôt le bandage sur la plaie, qu'il lui avait appliqué, et il ressentit alors un picotement la ou se trouvait la blessure de la pet, au dessus des hanche, poussant sa compassion à ses limites.
Il fixait la plaie, avec concentration, se demandant pourquoi il n'avait pas prit le coup à sa place, et réfléchissant au moyen de la guérir au plus vite.
C'est alors qu'une voix enchanteresse le sortit de sa rêverie.
-Tu as l’air charmant. Murmura-t-elle.
Le pet releva la tête, surpris par la remarque de son amie, jusqu'à ce que leur regards se croisent, via le miroir.
Le pet regarda ses grands yeux verts, fendu d'une pupille d'un noir profond et intense, il regarda ses yeux fixement, à la fois éblouis par leur charme, leur éclat mais aussi fasciné par les émotions qu'il transportait.
Il les regarda fixement, comme s'il tentait de se projeter dans cette immense océan émeraude, qui irradiait d'une obscure clarté, à la fois attirante et mystérieuse, intrigante et inquiétante,presque mystique.

Puis la mystérieuse jeune fille baissa les yeux, se cambrant légèrement afin de voir son, bandage,tandis que kiba relevait son sourcil droit, intrigué par ce qu'il avait vu, l'avait-il vraiment vu, ou son imagination fantasmagorique lui avait-elle joué un vilain tour.
Le pet, ne pu même pas terminer sa réflexion en bonne et dû forme, car son corps réagit seule, se passant du consentement d'un esprit trop lent.
Il enlaça son amie de ses bras musclés, la retournant, se retrouvant ainsi face à elle, d'une force qui semblait totalement incompatible avec la douceur infini avec laquelle il avait exécuté son geste.
Puis, la regardant des les yeux, plongeant son regard céruléen dans le sien, il entrouvrit la bouche, permettant à des sons ,qu'il risquait de regretter amèrement, de s'échapper.
Malgré l'assurance dont il semblait faire preuve, il était en réalité effrayé, terrorisé, son coeur battait comme jamais, ses muscle bandés sous l'action du stress du à la jeune fille, son visage .... , gardait une expression normale, bien que ses pupille vibrait signe de sa terreur intérieur.

Je t'aime. Les mots s'échappèrent de sa bouche avec douceur, s'effaçant voluptueusement dans le silence de la nuit.
Il avait prononcé cette phrase avec une tel sincérité que cela semblait irréel, puis la soutenant de sa main droite, il la fit légèrement basculer en arrière, et l'embrassa avec fougue, comme seul les homme éperdument amoureux save le faire.
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Artémis Myona

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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeMer 2 Jan - 8:21

Artémis avait été quelque peu surpris par sa propre audace. Initialement elle n’avait pas voulu révéler autant d’elle-même à son…ami ? Compagnon ? Enfin, à Kiba. Mais cela c’était avéré plus fort qu’elle, la fontaine d’émotions avait débordée, glissant sous son contrôle d’acier sur ses sentiments et elle-même. Cependant, elle se rattrapa avec une certaine vitesse et détourna le visage pour cacher son trouble. Une partie d’elle avait été mortifié : que venait-elle de faire ? Jamais—depuis les Laboratoires—avait-elle montrée autant d’elle-même, de son âme à quiconque mise à part Vénus. Une autre partie d’elle se demandait sérieusement s’il avait vraiment compris ce qu’elle lui avait « dit » sans paroles. Et finalement, une tierce partie espérait de tout cœur qu’il comprenne… C’est cette partie qui fit accélérer radicalement le battement de son cœur lorsqu’elle senti de la chaleur dans son dos et un souffle chaud sur sa nuque. Deux bras musclés se faufilèrent autour de son frêle corps et la fit pivoter vers eux avant de l’enlacer, sans qu’elle n’ait le temps de proférer un seul mot. Sa douleur complètement oubliée, la jeune pet se retrouva fermement dans la douce étreinte de Kiba, ses yeux vert iridescent rencontrant ceux azur luminescent de celui qui la tenait avec autant de passion. Il la dévisageait les yeux débordant de tendresse et de désir et aussi, curieusement, d’une certaine peur. Fronçant imperceptiblement des sourcils, elle leva une délicate main jusqu’à son visage et repoussa une mèche baladeuse avant de caresser doucement le satin de sa joue. « Oui ? » semblait lui demander silencieusement ses yeux mythiques. Leurs corps étaient si proches que l’adolescente put sentir le cœur de Kiba accélérer et se mettre à tambouriner dans sa poitrine. Finalement, il put prononcer ces mots qui lui coûtaient tant de dire :

-Je t’aime. murmura-t-il à son oreille pour la deuxième fois. Mais, contrairement à la première fois, Artémis put vraiment ressentir cet amour dans chacun des fibres de son corps. L’amour qu’elle pouvait lire dans son regard lui donnait l’impression d’être vêtue d’une échoppe fait d’air et de lumière. Jamais elle ne s’était sentie aussi légère et libre. Avant qu’elle ne puisse même songer à lui répondre, il la pressa encore plus contre lui et la bascula vers l’arrière, la prenant complètement par stupeur. Surprise et effrayée, elle se crispa et s’agrippa à lui. Cependant elle décontracta lorsqu’elle comprit qu’il la tenait fermement et qu’elle n’allait pas tomber au sol et, surtout, lorsque ses lèvres rencontrèrent les siennes. Jamais elle n’avait eut un baiser comme celui-ci. Fougueux, passionné et ardent c’était le baiser de l’amour éperdu. La chaleur irradia de son bas ventre et une colonne fulgurante de feu s’éleva en elle faisant crépiter chacun de ses sens en ébullition.

Finalement, après quelques instants incalculables, Kiba la releva et elle put prendre quelques respirations haletantes d’un désir chaud et véhément. Le regard brillant et pétillant de manière tout a fait captivante, elle s’approcha encore plus de lui, se pelotonnant contre son torse musclé, une lueur mystique apparaissant dans son regard sombre. Elle approcha doucement sa bouche aux lèvres satinées d’une de ses oreilles félines et lui souffla pour lui seulement :


-Moi aussi je t’aime, Kiba. Secret insaisissable qu’une fois révélée ôta un gros poids du cœur de l’adolescente blonde. Son nez s’enfouissa dans sa tignasse blanche jusqu’à ce qu’elle rencontre la peau chaude de son cou. Là elle découvrit une partie particulièrement sensible et y déposa un baiser aussi léger que les ailes d’un papillon. Sa soyeuse joue d’albâtre frôla contre la sienne jusqu’à temps qu’elle rencontre ses lèvres. Elle lui offrit un baiser effervescent. Elle était complètement enivrée par son odeur, par lui et sa queue tressautait violement témoignant ses émotions vives. Dans le fond de sa gorge ses cordes vocales commencèrent à vibrer et le profond ronronnement d’un félin contenté se fit entendre. Phénomène plutôt particulier, mais qui parvenait à être étrangement…séduisant.

Toujours en embrassant son amant, Artémis se mit à reculer vers la porte, ses mains montant dans son dos pour y dénouer l’emprise des bras de Kiba autour de sa taille. Ce n’est pas qu’elle ne voulait plus de son étreinte, mais plutôt qu’elle se disait qu’ils seraient mieux dans une pièce autre que la salle de bain. Glissant ses doigts dans l’une de ses mains, elle relâcha ses lèvres et s’éloigna de lui. D’un brûlant regard au-dessus de son épaule, elle se mit à le guider de sa démarche souple et voluptueuse de félin.

Elle s’arrêta devant une porte qu’ils n’avaient pas encore ouverte. De sa main libre, elle tourna la poignée et poussa contre le bois, ouvrant sur la pièce qui servait de chambre à coucher. La pièce maîtresse de la chambre était le lit double au matelas souple et confortable et aux draps satinés. Attirée à lui de nouveau, elle se rapprocha de lui, déposant ses mains sur ses hanches—légèrement au-dessus de sa blessure—elle l’embrassa de plus bel. Sa queue donna un discret coup sur la porte qui se referma silencieusement derrière eux. Ephémèrement, ses douces mains caressèrent sa poitrine avant d’aller dé-zipper lentement le manteau de cuire sombre qu’il portait. Habilement, elle le débarrassa du lourd vêtement et le laissa choir sur le sol sans aucun arrière pensé. Ensuite ses mains se faufilèrent sous son pull gris, ramenant doucement le vêtement vers le haut. De manière presque involontaire, la queue de la pet frôla le devant de ses pantalons avant d’aller s’enrouler autour de sa queue argentée. Quelques secondes plus tard le pull rejoignait la veste sur le sol.

Ronronnant toujours en l’embrassant, Artémis fit un pas vers l’avant, le forçant de faire un pas de reculons. Bientôt ses mollets heurtèrent la base du lit. Mettant fin au baiser, elle leva ses yeux brillant d’envie et d’une pointe d’espièglerie sur lui, avant de poser ses paumes sur sa poitrine. D’une légère pression elle le poussa sur le lit. Ressemblant véritablement à la tigresse qui partageait ses gènes, elle grimpa sur le lit aussi, marchant à quatre pattes jusqu’à temps que ses genoux soient de chaque côté de ses hanches et que ses mains soient vis-à-vis ses épaules. Ses mains se glissèrent jusqu’aux boutons de sa chemise et commencèrent à les défaire un par un, caressant et embrassant sensuellement sa peau au fur et a mesure qu’elle était dévoilée. Son corps en entier vibrait de pulsations primales et enivrantes qu’elle n’était plus capable de courber ; son désir était si grand qu’elle en avait presque mal. Elle était aussi fascinée par comment on pouvait en venir à perdre contrôle sur soi. Car, à ce moment très précis, Artémis agissait par pur instinct et désir de faire plaisir à son amour. Au fait, elle espérait qu'elle n'avait pas été trop rapide ou brusque avec lui—comme la fois dans le lac—c'est simplement qu'elle n'en pouvait plus et que ses sens exigeaient d'être assouvis. S'il voulait vraiment arrêter il devrait la stopper lui-même, car elle était bien au-dela de la capacité de réaliser s'il était partant ou non. le dernier bouton de sa chemise céda et elle posa un dernier baiser sur son ventre avant de remonter pour aller l'embrasser sur les lèvres. Ses fins doigts se coullèrent dans ses cheveux pâles et elle ronronna à son oreille:


-Dis moi ce que je peux faire.
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeJeu 3 Jan - 3:50

Kiba entoura sa taille de ses deux bras musclés, puis la faisant pivoté avec une extrême douceur, il regarda son doux visage, sa peau d'albâtre, ses yeux d'émeraude, ses cheveux d'or tombant en cascade sur son visage angélique et démoniaque.
Le regard océan du pet rencontrant les yeux au couleur des bois de son amie? Compagne? Enfin d'Artémis quoi...
Kiba la regardait fixement, ses pensée se bousculait, se choquait dans sa tête tel des charrues le jour du marché, il devait lui parlé, non il devait se taire, ou mais s'il se taisait se serait encore pire, pire que s'il parlait? Et s'il s'enfuyait en courant?
Des idées, plus ou moins invraisemblable défilait à une vitesse folle devant ses yeux, tout comme ses émotions, l'inquiétude, la joie, la panique, l'amour...
Et ,tandis que son cerveau s'approchait lentement mais sûrement de l'ébullition, son corps, guidé par son instinct, agis de nouveau, ses cordes vocale frémirent tandis qu'il ouvrait une porte vers ses sentiments.

Je t'aime. Les mot glissèrent hors de sa bouche avec force et délicatesse, des mot imbibé d'émotion, qui provenait des tréfonds de son âme, des mots d'une sincérité sans pareille, des mots... magique
Puis, toujours sous les impulsion bestiale qui semblait s'être emparé de lui, suivant à nouveau les ordre que lui donnait son instinct, il rapprocha son visage de celui de sa bien aimé, humant son parfum après quoi, vif comme l'éclair, il la fit basculer en arrière, la retenant toujours de sa main droite, qui tremblait, une vibration qui se promenait sur la limite du perceptible, non pas que la jeune fille soit trop lourde, non c'était plutôt un mélange de peur, d'appréhension mais aussi la preuve d'une certaine excitation qui montait en lui, augmentait sa pression artériel, son rythme cardiaque, tandis que ses pupille se dilatèrent, et sa force augmenta, tout comme la précision de ses sens, qui réclamait au et fort de sentir de plus près le corps de celle qui se trouvait être l'élu de son âme.
Il la rapprocha un peu de son torse, la serrant un peu plus fort contre lui tandis qu'une dernier spasme musculaire le faisait frissonner.
Puis, ferment ses grand yeux bleu il se permit d'aposé sur les lèvres d'Artémis un long baiser ardent, et fougueux, plein de vigueur, un de ses baiser qui ne peut se former que lors des ébat amoureux de vrais personne, s'aiment vraiment, et, pour son plus grand plaisir il ne se sentit pas repoussé, bien que pendant un instant il avait cru qu'elle s'extirperait de son étreinte, mais elle n'en fit rien, elle s'était seulement crispé, sans doute aussi surprise que lui par son « assaut »
Il se passa un instant qui dura tout une éternité, il sentit ses lèvres si voluptueuse et sensuelle, sa langue si douce, il sentit sa taille dans ses mains, et ses cheveux qui venait lui gratter le visage avec espièglerie...
Les poumons de Kiba commençait à s'enflammer du au manque d'oxygène et il du, à regret, se reculer, pour respirer, redressant le dos vouté de sa compagne, qui semblait aussi essoufflé que lui.
Elle eut alors une réaction, que Kiba espérait de toute son coeur, mais qu'il n'attendait absolument pas.
S'approchant une seconde fois de lui elle se blottis contre son torse musclé, qui se soulevait au rythme régulier de ses respirations, et levant son sombre regard, vers lui, approchant ses lèvres si douce de ses oreilles, qui se redressèrent, captivé, pour lui susurrer les mots qu'elle lui dédiait, une phrase qui lui appartiendrait:
-Moi aussi je t’aime, Kiba

Le coeur du pet cessa de battre un instant, puis, il repris de plus belle, il avait l'impression qu'un énorme poids venait de disparaître, sa poitrine, et ses épaule n'était plus comprimé, le serpent qui tenait ses entrailles disparu tandis qu'il respirait, libère de la peur qui le figeait.
Il sentit le doux museau.. nez? Se balader à travers sa chevelure grisaillente, qui tirait nettement sur le blanc, puis venir loger sur son cou, un baiser doux qui le fit frissonner de plaisir, et de désir.
Il sentit ses cheveux, propre, et doux comment les plumes des ailes d'un papillon, et il pu sentir sa joue frôlé la sienne, si douce, et pour terminer sentir ses lèvre déposé un baiser léger et rapide sur les siennes, encore frétillante.
Tendit que leur lèvres se frôlait, il pu entendre un bruit sourd quasi-imperceptible, et caractéristique des félin, une vibration sensible, et sincère, qui toucha le pet au plus profond de lui même, et qui en fit de même, ronronnant à son tour, heureux du moment qu'il était le seul à partager avec la jeune fille.
Il sentit alors, avec un regret incommensurable Arté se détacher de son étreinte pour se reculer, et s'échapper vers la porte, était-elle effrayer... non, il le savait, il la suivis du regards, se demandant ce qu'elle voulait, et il comprit assez rapidement, ce qui ne lui déplus pas.
Le pet charmer par son regard divin, s'empressa de lui emboîter le pas, suivant sa démarche souple et voluptueuse, si félin, ses pas frôlant le sol, le moindre de ses mouvements laissant transparaître sa magnifique silhouette, svelte à souhait.
Tournant une poignée inconnue, elle lui fit découvrir une sympathique chambre à coucher, qu'il aurait pu admirer si son attention n'était pas déjà fixer sur autre chose...
Il sentit ses mains se déposé sur les hanches mince, et parfaite de la femme féline, juste au dessus de sa blessure, sa queue fouettant l'air pour refermer la porte qui émis un grincement inaudible.
Il sentit les frêles mains de la jeune fille caresser sa poitrine bombé, puis, ses mains gambadèrent furtivement sur le torse du pet jusqu'à rencontrer la fermeture du manteau.
Elle ouvrit alors le lourd blouson de cuir qui se retrouva en deux en trois mouvement, jonchant sur le sol.
Il sentit ses douce mains se faufiler sous le pull de laine, puis l'extirper délicatement de son torse, afin qu'il aille rejoindre son confrère, tandis qu'il sentait la main... ou plutôt la queue de son amie qui s'enroulait tendrement autour de la sienne, le tout entrecoupé de court baisé, envoûtant et amoureux.
Soudain, son amie mit fin au baiser, l'obligeant à reculer, tandis qu'il lui lançait un regard étonné, surpris, jusqu'à ce que ses mollet rencontre le bord du lit, et, avant qu'il ne puisse réagir, il comprit à la vue de l'éclat pétillant de malice, d'espièglerie et de désir qui régnait dans son sombre regard d'émeraude, ce qui lui arriverait.
Il sentit les paume de la jeune fille appuyé sur son torse, le faisant basculé en arrière sur le lit, qui s'affaissant, grinça sous le choc, se prenant au jeu,il voulut à son tour la tiré vers à lui via leur queue resté enroulé, mais ne pu rien faire, la jeune femme ayant retiré la sienne du lot.
Il n'eut pas à attendre longtemps, l'instant suivant, il la vit monter sur le lit, avec légèreté sans que se dernier n'émette le moindre son, se déplaçant à quatre pattes tels le félin qu'elle était presque, jusqu'à que ses genoux sois au dessus des hanche de son compagnon.
Ses main glissèrent bestialement jusqu'au bouton de sa chemise qui sautèrent les uns après les autres, l'embrassant, caressant son torse au fur et à mesure qu'elle découvrait sa peau.
Pendant ce temps, le pet, qui avait reprit un peu de ses esprit, cessa d'être passif, caressant tendrement son dos, a travers, puis passant ses mans en dessous du chandail, directement sur la peau.
Puis relevant le tout, il lui ôta le vêtement avec douceur, toujours en prenant garde, presque inconsciemment, à la blessure juste au dessus des hanche de son amie.
Il le jeta au pied du lit tandis qu'il l'embrassait une fois encore, ne se lassant toujours pas des sensation qui se propageait dans son corps à chaque fois qu'il touchait ses lèvres.
Le pet sentait monter en lui une pression de plus en plus grande, il était de plus en plus excité, ses membre vibrant, secoué par des spasme de désir ardent, d'amour encore inexprimé et d'envie sensuelle.
Il ressentait le parcourir des pulsion primaire, qui l'emplissait d'une force « animale » qui ne demandait qu'a s'exprimer.
Le pet avait l'impression qu'il allait explosé de désir, tant il l'aimait, tant il voulait lui exprimer son amour, et lui faire plaisir.
Ses yeux céruléen semblait agité, tel des flammes, virevoltant, tandis qu'il l'embrassait une nouvelle fois, pinçant légèrement les lèvres de son amie des siennes, à la fin de ce nouveau baiser enflammer.
Il sentit ses douce mains se promener dans ses cheveux tandis qu'elle lui murmurait de sa voie voluptueuse, et sexy


-Dis moi ce que je peux faire.

Kiba la regarda dans les yeux, son regard, tout comme le sien, avait changé, il était plus bestiale, brûlant de désir, consumant leur amour d'une flamme incandescente.
Le pet sourit, dévoilant ses dent nacré, tendis qu'il saisit tendrement le lobe de l'oreille de son amie,le mordillant avec une délicatesse infinie, puis, le relâchant il lui susurra à l'oreille de sa voix grave, et douce:

-continue.


Kiba recula légèrement son visage, le libérant des assauts amusants des cheveux blonds de la jeune pet, pour croiser son regards, ses mains terminant leur promenade dans le bas de son dos, puis en un instant, il retourna la situation, donnant une violente impulsion au niveau de la hanche droite, il fit basculer la jeune se retrouvant au dessus d'elle, maintenant ses poignets plaqué contre le lit, tandis qu'il l'embrassait, une fois encore, avec la même passion, inaltéré, peut-être encore plus fougueusement que précédemment, puis, relâchant ses poignets, il descendit son visage, embrassant son menton, puis continuant sa descente jusqu'au dessus de son nombril, qu'il chatouilla d'un autre baiser, tandis que ses mains s'affairait à défaire la ceinture du jean noire et moulant qu'elle portait, s'aidant de ses crocs pour rompre pour ouvrir le gros bouton du pantalon, tandis que ses mains, frôlait les cuisses de la jeune pet, sa queue, s'enroulant une nouvelle fois autour de celle d'Artémis.
Puis il remonta lentement vers son amis, la peau brûlante de son torse frôlant celle de sa compagne, si douce.
Puis, passant sa main dans la chevelure solaire de la jeune pet, il lui demanda, entre coupé par son souffle haletant, et léger:

et moi, que puis-je faire pour te contenter?
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeJeu 3 Jan - 8:11

Elle n’aurait jamais crut cela possible, mais au moment qu’elle lui murmura qu’elle l’aimait, Artémis était si près—et ses sens tellement atténués à lui—qu’elle put sentir l’explosion de joie qui retentit dans sa poitrine, faisant cesser de battre son cœur pour un court lapse. Elle ressentit une certaine satisfaction à sa réaction, heureuse d’avoir eut autant d’effet. Son bonheur débordant le rendait encore plus désirable aux yeux d’Artémis qui l’embrassa avec verve. Ses lèvres se raffolaient de l’exquise de sa bouche, de profonds ronronnements échappant de sa gorge signalant son plaisir lorsqu’elle capta un son miroitant le sien, faire vibrer la gorge de celui qui la tenait avec autant d’amour. Ce bruit alla faire résonner une corde sensible dans le cœur de la tigresse qui s’attendrit encore plus à son égard. Finalement, elle décida qu’il était temps pour eux de changer de pièce, même si cela signifiait qu’elle allait devoir se passer de lui pour quelques secondes le temps qu’ils s’y rendent. Avec amusement, elle sentit le regret de Kiba lorsqu’elle s’esquiva de son étreinte. Elle le rassura rapidement en glissant ses doigts entre les siens et le guidant suavement vers la chambre à coucher, chacun de ses pas si légers qu’ils ne faisaient pas le moindre son. Son cœur tambourinait follement dans sa poitrine et son excitation la rendait quasiment étourdie. Enfin—la marche pourtant courte lui avait semblé prendre une éternité—ils arrivèrent à la chambre et elle rentra, le tirant doucement après elle.

Une fois a l’intérieur, elle ne perdit pas son temps avec d’autres langoureux baisers—pas qu’embrasser Kiba était une perte de temps, simplement que son corps en réclamait plus. Sans hésitation ses mains s’occupèrent de débarrasser l’homme tigre de son lourd manteau de cuire. Une pensée la fit sourire légèrement : ils n’auraient pas portés leurs vêtements pour bien longtemps après tout. Sentant l’envie de sentir ses lèvres chaudes et réconfortantes sur les siennes. Elle l’embrassa longuement avec une grande satisfaction ; il était loin d’être mortifié par ses gestes. Elle le sentait même très détendu et à l’aise, plus que réceptif à ses avances plutôt directes. Elle l’avait bien lut en croyant déceler en lui la même passion brûlante et la même envie primal, purement animal. Doucement, elle se faufila sur son pull et, tout en caressant délicatement son échine, elle remonta le vêtement jusqu’à temps qu’elle puisse le jeter également au sol. Elle fut légèrement décourager de réaliser qu’il lui restait encore une couche de vêtements ; elle ne se rappelait pas de lui avoir remit autant d’habits que ça tout à l’heure. Tant pis, la chemise serait bientôt partie elle aussi.

Prenant toujours l’initiative, elle le fit reculer jusqu’à temps qu’il heurte contre le grand lit. Malicieusement, elle déroula sa queue de la sienne et le poussa fermement sur le lit—sans toute fois manquer de douceur. Il n’eut pas à y demeurer seul bien longtemps. Avant qu’il puisse même songer à se redresser elle venait le rejoindre, marchant lestement jusqu’à être par-dessus lui. Enfin elle pourrait lui retirer cette satané chemise. Tout en couvrant chaque parcelle de sa poitrine peu a peu exposée de baisers et caresses baladeuses, elle finit de déboutonner le vêtement, pouvait admirer pour la première fois ses muscles bien définies. Ses caresses semblaient l’avoir enflammé, car il s’était mis à jouer un rôle plus actif dans leurs ébats—au plus grand plaisir d’Artémis. A leur tour, ses mains se glissèrent sous son chandail pour aller caresser tendrement la peau chaude sous son vêtement. Exactement comme elle l’avait fait il y a quelques secondes, il remonta lentement le chandail, tout en effleurant délicieusement sa peau. Pour lui faciliter la tâche, elle se redressa, assise sur son bassin—mais elle pesait si peu que cela ne devait pas lu sembler trop lourd—et lui permit de la débarrasser de son pull. Puis, portant simplement son bustier, elle s’allongea sur lui, son corps s’électrifiant au contact de sa peau nue contre la sienne. Il l’embrassa langoureusement, pinçant légèrement sa lèvre inférieure, ce qui fait passer un courrant dans le corps de la pet. Voulant lui faire plaisir à tout prix elle lui demanda ce qu’elle pourrait faire pour lui. La serrant plus contre lui, il lui mordilla avec une douceur exquise l’oreille avant d’y susurrer :


-Continue.

Parfait. Elle ne demandait qu’à faire cela. Un sourire charmeur flottant sur ses lèvres, elle baisa la tête et descendit dans son cou, embrassant chaque parcelle de peau qui lui passait sous les lèvres, avant d’arrêter à sa clavicule où elle lui fit une légère sucette, tout ceci tandis qu’il lui frôlait délicieusement le dos, la retenant contre lui. Puis, soudainement, il la pressa encore plus contre lui et la prochaine chose que sut Artémis était que c’était lui qui se retrouvait au-dessus d’elle et qu’il retenait ses deux poignets plaqués contre le lit par ses moments. Pour un bref instant, Artémis sentie de la panique ; ses poignets « ligotés » de la sorte lui remémorant crûment son expérience dans les Laboratoires où elle avait été enchaînée jour et nuit au mur de sa cellule. Mais, avant qu’elle ne puisse s’affoler, il posait un baiser ardent sur ses lèvres, faisant fondre sa brève angoisse. De plus, il avait déjà relâché ses poignets et traçait une ligne de baisers de sa bouche à son nombril. Un long tressaillement passa dans le corps enfiévré d’Artémis et son ronronnement s’approfondit. Il s’arrêta là, car après venait la lourde agrafe de sa ceinture. Utilisant ses mains et sa bouche, il en vînt à bout de sa ceinture et du bouton de ses jeans. Elle frissonna de plaisir de plus bel lorsqu’il se mit à caresser ses cuisses, imaginant comment cela sentirait sur sa peau et non sur ses vêtements. Elle souleva légèrement son bassin, l’aidant ainsi à ôter ses jeans qui se retrouvèrent quelques secondes plus tard sur le plancher eux aussi. Leurs queues se retrouvèrent et s’enlacèrent mutuellement, au plus grand plaisir de leurs propriétaires. Tandis qu’il remontait vers elle, elle agrippa le col de sa chemise—qui était ouverte sans être enlevée—et l’attira à elle. Glissant ses mains sur ses épaules musclées, elle le débarrassa enfin de sa chemise—qu’elle oublia ensuite de sitôt. Elle se mit à rectifier le léger déséquilibre qu’il avait crée en lui retirant ses pantalons ; après tout elle était en sous-vêtements et lui portait toujours ses culottes. Ses mains s’étaient misent à frôler sensuellement ses reins, s’approchant de l’agrafe de ses pantalons lorsqu’il passa ses doigts dans ses cheveux d’or et lui souffla, la voix haletante :

-Et moi, que puis-je faire pour te contenter ?

Elle ne lui répondit pas immédiatement, car elle venait de prendre sa bouche en assaut pour un long baiser endiablé tandis que ses mains terminaient de le débarrasser à son tour de ses culottes, le laissant en sous-vêtements tout comme elle. Elle enroula ses frêles bras autour de son cou et fit mine de songer à sa question.

-Hummm... musa-t-elle. Lentement—se glissant de leur étreinte—la queue de l’adolescente vînt frôler éphémèrement, mais on-ne-peut-plus-directement, l’intimité du jeune homme, de façon à aviver à la fois son plaisir et son supplice.

-Laisse-toi aller. murmura-t-elle d’une voix enchanteresse dans son oreille, laissant sa queue le frôler de nouveau, mais de manière plus appuyée cette fois-ci. Ses yeux verts dansaient de lumières grisantes et tout consumantes et la bouffée de feu qui avait embrasé son corps avait fait monter la chaleur à ses joues qui étaient désormais teinté d’un léger vermillon. Plongeant ses doigts dans sa tignasse de cheveux ivoire elle l’attira tout contre elle pour un long baiser amoureux, enivrée par l’odeur de son parfum réchauffé par leur passion, tandis qu’elle laissait sa queue frôler de plus en plus sensuellement le bas-ventre de son compagnon, plus ou moins consciente de quels émotions elle pouvait éveiller par ces gestes.
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeVen 4 Jan - 2:04

Une fois à l'intérieur de la chambre, la jeune femme augmenta le temps qu'elle laissait s'écouler entre chaque baiser, pour s'affairer a dévêtir le jeune pet qui, loin de s'en plaindre, était un brin pris au dépourvus par la situation, qu'il avait tant souhaité.
Désarroi qui ne dura d'ailleurs qu'un seul instant, son instinct lui indiquant rapidement la marche à suivre...
durant les instant qui suivirent, se reculant peu à peu, il pu voir en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, son manteau volé jusqu'au sol, et pourtant le délectable supplice de l'attente lui sembla durer une éternité.
Il sourit en pensant aux vêtement tout propre sentant si bon, qu'il venait à peine de mettre, et qui se retrouvait déjà par terre...
Puis, toujours vif comme un tigresse, elle prit une nouvel fois d'assaut ses lèvres, des siennes si voluptueuse et délicate, l'embrassant tendrement, le faisant une nouvelle fois frissonner de plaisir tandis qu'il l'a dévorait du regard avec surprise, et plaisir.
Il voyait, au fond de ses yeux son propre reflet, cette même passion dévorante, qui le consumait de l'intérieur.
Il la regarda, à la fois tendrement, et sauvagement, tandis qu'elle glissait ses mains rapide et agile sous son épais pull, pour le lui ôter après avoir délicatement passer sa main le long de la colonne vertébrale du pet, qui frissonna une nouvelle fois, au contact des mains douce et fluette.
Puis, remontant ses mains le long de son dos, elle retira le pull qu'il portait, l'envoyant rejoindre le blouson qui traînait sur le sol.
Elle découvrit alors la troisième couche de vêtements, et sembla un brin déçu, mais avant que le pet ait le temps de la réconforter, il sentit le rebord du lit rencontrer ses mollets, et avec une lueur d'espièglerie, qui s'allumait dans son regard, elle le poussa des ses jolie paume, comprimant son torse, jusqu'à ce qu'il chute lourdement sur le lit rembourré.
Il voulut tenté de l'y emmener à son tour, mais il découvrit, sans en être vraiment étonné, que leur queue s'était allègrement séparé afin d'éviter ce genre de retournement de situation.
Bien heureusement il n'eut pas à attendre longtemps, seul, sur ce grand lit, car elle le rejoignit durant l'instant suivant, se promenant à quatre patte sur la couette satiné du lit fait au carré.
Se promenant a quatre patte avec une grâce qu'aucun humain n'aurait pu avoir jusqu'à se retrouver au dessus du pet, qui était amusé par la tournure que prenait la situation.
Par ailleurs, sa compagne lança un regard tel à son torse, qu'il cru pendant un instant qu'elle allait le mettre en pièce, mais il comprit rapidement que ce n'était pas à son torse mais a la chemise bleuté qu'il portait, qu'elle en voulait.
La déboutonnant peu à peu, couvrant son corps, soudain si sensible, de baiser et de caresse délicieusement capricieuse.
Il la laissa faire, envoûté par l'habileté de ses mains et de ses lèvres à ce petit jeu.
Il la laissa déboutonner les derniers boutons de la chemise tandis qu'il passait ses main avec toute la douceur qu'il pouvait donner à ses mains, levant lentement son chandail, parcourant son dos de ses mains, comme si cela avait été du velours - sa peau n'en était d'ailleurs pas très loin- avec tendresse, amour et passion.
Puis, achevant son mouvement, il leva ses bras, la libérant à son tour de l'espèce de pull qu'elle portait.
Il remarqua avec satisfaction qu'elle ne luttait pas contre cela, bien au contraire, car elle s'était redressé pour permettre au vêtement de s'échapper de son buste.
Il la regarda alors, vêtue uniquement de son bustier, ses cheveux d'or descendant en cascade sur sa poitrine, ses yeux brillant de malice, ce qui était, il fallait l'avoué, assez excitant.
S'allongeant sur le torse viril de son ami, dont chaque cellule de peau s'enflamma de plaisir au contact de la peau nue et douce d'Artémis.
Il ne pu alors s'empêcher de chercher de nouveau le contact de ses lèvres contre les sienne, l'embrassant vigoureusement, d'un baiser flamboyant de passion et d'amour, pinçant sa lèvre inférieur à la fin de ce langoureux baiser, afin qu'elle puisse s'y extirper pour lui demander a l'oreille
ce qu'il désirait.
Il glissa alors doucement son visage accompagner d'un rictus amusé, vers le lobe de son oreille qu'il mordilla tendrement avant d'ajouter de la voix la plus grave et la plus sensuelle qu'il pu

Continue

La pet sembla apprécier sa réponse, du moins c'est ce qu'il en déduisit au sourire charmeur qui flottait à présent sur ses lèvres de déesse.
Elle recommença à embrasser chaque parcelle de son corps, aux aguets, jusqu'à sa clavicule ou elle laissa un léger suçon.
Pendant ce temps, le pet ne resta pas impotent, usant de sa force pour retourner la situation, assouvissant l'un de ses fantasmes, retournant la situation, basculant la jeune fille, se retrouvant au dessus d'elle par une étrange manipulation, l'embrassant tendrement tandis qu'il maintenait ses poignet des siens.
Juste avant le baiser il ressentit ce qui ressemblait à un brin de résistance de la part de la jeune fille, et ce qui ressemblait à de l'angoisse, il cessa aussitôt son action, passant à autre chose, en effet il pensait savoir ce qui avait réagit dans les souvenir de son amie, et chassa d'ailleurs ses images de son esprit aussitôt qu'elle était apparu, se concentrant sur le plaisir d'Artémis...
Kiba enchaîna aussitôt par de menus baiser qu'il repartis le long d'une ligne qui partait des douce lèvres d'artémis jusqu'à son nombril pour finir juste en dessous, et s'attaquer à la ceinture, la déliant à l'aide de ses crocs et de ses mains, caressant avec délicatesse et sensualité ses cuisse aux mensurations divine, traçant ce qui semblait a de petit cercle ovale autour, tandis qu'il achevait les boutons de jean avec bestialité, s'aidant de sa mâchoire.
Et le pet fut une nouvelle fois heureux de constater que sa jeune amie répondait avec plaisir à ses appels en soulevant le bassin, l'aidant ainsi à la dévêtir de son jean moulant qui avait opposé tant de résistance, le projetant sur sa veste de cuir, près des autres vêtements qui jonchait le sol.
Puis, sa queue partant à la recherche de celle de son amie, remplaçant un instant ses mains qui se retrouvait sur le lit de part et d'autre des hanches de son amie.
Remontant son torse et son visage près de celui d'Artémis, il laissa sa queue s'enrouler autour de celle d'Artémis, le faisant frissonner d'un plaisir animal.
Il se sentit aussitôt attirer par son col vers le visage d'une insatiable beauté de sa jeune amie, qui s'empressa de le débarrasser de la chemise qu'il portait, passant ses mains au niveau de ses hanche, pendant que le pet, après avoir caresser ses long cheveux dorée lui demanda d'un ton mielleux et grave, entre coupé par son souffle haletant:

-Et moi, que puis-je faire pour te contenter ?

Elle ne répondit pas immédiatement, et pour cause, ses lèvres, était occupé à l'embrasser ce qu'il l'empêchait quelques peu de répondre.
Il sentit son pantalon terminer de s'extirper de ses jambe, ouvrant ses yeux pour regarder le visage de son amie, en attendant sa réponse, sans même se soucier de ce qu'il était advenue de son pantalon.
Il sentit le contact de ses jambe, mince et douce sur les sienne, robuste et brûlante, et ne pu réprimer un frisson d'excitation qui se propagea de ses jambe jusqu'à son échine, l'emplissant d'un désir qui ne faisait que s'amplifier , par de la le fait de ce faire plaisir, il voulait aussi de toute son âme faire plaisir à son amie qu'il aimait tant.
Elle passa ses alors ses bras autour de sa nuque, faisant mine de réfléchir à son questionnement pour lui répondre dans un ronronnement amusant:
-Hummm...

Il sentit au même moment la queue de la jeune femme se promener très près de son entre jambe, frôlant ses partie intime, lui procurant un frisson de plaisir et de désir d'une puissance qui lui arracha ce qui ressemblait à une grimace de plaisir, retenant le flux qui était monté en lui.
-Laisse-toi aller. susurra-t-elle a son oreille de sa voix féminine et suave.
Kiba ressentit une nouvelle fois la queue de son amie venir frôler la partie si sensible de son corps tandis qu'il pouvait admirer les yeux de sa compagne s'illuminer de lueur grisante, espiègle, et ses joue, s'empourprer légèrement.
Passant ses mains dans ses cheveux, elle l'embrassa de nouveau, lui permettant de ressentir un autre moment d'une extase infinie, tandis qu'il sentait sas peau collé contre la sienne, assouvissant ses sens qui ne demandait que cela, et répondant à l'appel qu'elle avait lancé, il laissa sa main glisser le long de l'abdomen frêle et sensible, pour terminer sa course très près de sa queue, lui caressant une seconde fois les cuisse, directement sur sa peau, nue.
Il huma une nouvelle fois le doux parfum de ses cheveux; sa langue venant sensuellement à la rencontre de celle de son amie, tandis que plus bas sa queue venait frôler, lascivement le bas ventre d'artémis, frôlant certain endroit charnel, parfois un brin plus fermement, caressant cette partie si sensible avec sensualité, quittant ses lèvres avec un regard des plus charmeur.
Il pu ressentir l'organe félin de la pet féline, frôler, de plus en plus explicitement son organe, lui procurant un plaisir qui lui fit pousser un léger gémissement, décuplant ses pulsions, et ses envies de la jeune fille dans une délectable attente.
Il embrassa son amoureuse d'un nouveau baiser langoureux et ardent, exprimant son désir, tandis qu'il roulait sur le lit pour la seconde, fois, rompant a regret, mais par nécessité le baiser tandis qu'il se retrouvait une nouvelle fois en dessous d'elle.
Il laissa alors sa main gauche se promener sur le corps dénudé de sa compagne, laissant sa main aller jusqu'à corset de la jeune fille dont il entreprit de délacer le lien qui le maintenait encore clos, avec délicatesse, et rapidité, tandis qu'il sentait monter en lui une pression de plus en plus grande du au nombreuses caresses si sensuel et excitante qu'administrait Artémis au niveau de ses parties sensibles.
Il entrouvrit alors sa bouche, dénouant les dernier lacet du soutien gorge pour lui murmurer d'une voix douce et rauque des mot d'amour, près de son oreille, un ronronnement discret, involontaire et sincère se faisant entendre lorsqu'il ouvrait la bouche.

Je t'aime tant mon ange. Murmura-t-il, le souffle court, le coeur haletant, oh! il craignait la réponse, mais ses veines était saturé de divers élément chimique, et ses émotion, ses sentiments, et autre sensations était à leur paroxysme, ce qui lui arrivait rarement.
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Artémis Myona

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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeVen 4 Jan - 6:44

Exactement comme elle l’escomptait, les caresses qu’elle lui donnait avec sa queue étaient loin de le laisser de marbre ; elle put le sentir trembler contre elle d’une violente passion contenu. Murmurant à son oreille, elle l’enjoignit de se laisser aller, de lui montrer jusqu’où plongeait sa passion et jusqu’à quelle extase il pourrait l’emmener. Question de l’inciter encore plus—comme s’il avait besoin de plus de motivation—elle laissa sa queue frôler avec luxure son bas-ventre au-dessus de ses boxeurs, la soyeuse fourrure dorée de sa queue passant doucement sur la peau nue de ses cuisses. Elle prenait vraiment un malin plaisir à le faire succomber à son charme. Dans les yeux de son compagnon, elle pouvait voir les spirales de feu céruléen s’embraser et s’illuminer à chaque caresse qu’elle lui administrait avec une précision incroyable, comme si elle savait instinctivement où passer pour lui apporter le plus de plaisir. Elle plongea ses doigts dans ses cheveux, le pressant contre sa poitrine et l’embrassant passionnément avec une tendresse débordante, sa queue passant plus lentement pour le faire sentir chaque microseconde de plaisir. C’est cela qui sembla le tirer de la torpeur dans laquelle elle l’avait plongé ; sa main descendit le long de son corps, tel le vole et délicat et éphémère du papillon qui se posa sur sa cuisse y traînant ses ailes de soie sur sa peau nue. Pour quelques notes le ronronnement dans sa gorge s’approfondit, faisant vibrer profondément ses cordes vocales. En humant le doux parfum de ses cheveux, Kiba vînt déposer un autre baiser sur sa bouche, sa langue forçant doucement la barricade de ses lèvres pour être accueillit avec joie et volupté par celle d’Artémis qui approfondit leur baiser. Mais le jeu du désir se jouait à deux et Kiba aussi possédait des gênes de félin. Ce fut au tour d’Artémis de ressentir ce qu’elle lui faisait subir depuis peu. Avec sensualité la queue argentée de son amoureux vînt se glisser contre son bas-ventre, effleurant sans merci ses endroits les plus sensibles avec dévotion. Artémis frémit de plaisir et se colla plus contre Kiba, l’embrassant dans le cou, sa respiration saccadée. Avec un regard qui fit bondir son cœur dans sa poitrine, il l’observa, avec un petit sourire angélique Artémis lui rendit le regard et s’attarda un long moment, sa queue passant à la fois doucement et d’une pression marquée sur sa fourche, geste qu’elle répéta. Frissonnant violement, un petit gémissement s’échappa des lèvres du jeune homme et il embrassa Artémis avec force et ardeur, un baiser qui lui montrait tout le désir qu’il éprouvait pour elle.

Il rompit le baiser, l’attirant contre lui—elle se blottit sans hésitation contre lui, tout en prenant soin de continuer de lui administrer ses soins—il se retourna et l’adolescente se retrouva de nouveau en train de surplomber son amant. Ses mains caressèrent s’approchant lentement du leur but ; son corset. Tendrement et avec dextérité il entreprit de délacer le bustier dont les cordons zigzaggaient sur toute la longueur du morceau. Artémis, quant à elle, laissait batifoler sa queue tout en effleurant doucement d’une main les pectoraux de son amant. Finalement—après tout un corset est plutôt long à délacer—le dernier lien glissa des doigts de Kiba, dévoilant la poitrine de la pet à ses yeux. Cette dernière se pencha sur lui, chacun de ses sens s’excitant au contact de ses seins contre le corps chaud de son compagnon. Pantelant à cause de la force accumulée de son désir et plaisir, il ronronna à son oreille :


-Je t'aime tant, mon ange.

-Et moi donc, my love. susurra-t-elle à son tour dans son oreille avant d’aller l’embrasser dans le cou à nouveau. Tranquillement, l'une de ses mains descendit le long de son abdomen, sa queue se déplaça, caressant ses cuisses, pour laisser la place à la main, douce et fraîche sur sa peau enfièvrée, d'Artémis qui se mit à effleurer d'une délicatesse exaltante les reins du jeune pet tout en déscendant lentement son boxeur jusqu'à temps qu'il se retrouve complètement nu. Souriant espièglement, laissant entr'apperçevoir la blancheur nacrée de ses canines-crocs, Artémis embrassa passionément son ami, survolant délicatement du dos de ses doigts le sexe de son amour.
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeSam 5 Jan - 3:55

Kiba frissonnait, de plus en plus excité à chaque nouvelle caresse qu'elle lui administrait, elle s'y prenait étonnamment bien, ce qui compliquait quelques peu la tâche à Kiba qui ne savait plus ou donné de la tête... et du reste.
Il sentit une nouvelle fois la queue dorée de son amie venir se frotter avec luxure contre son bas-ventre, lui procurant une délicieuse sensation d'extase qui parcouru tout son corps, le faisant frémir de plaisir, tandis qu'elle continuait sa promenade baladeuses sur ses cuisses bien charpentés.
Kiba sentit s'allumer en lui la flamme de l'excitation, lui procurant des envies encore plus intense, décuplant la sensibilité des ses sens déjà très ...sensible...
Il sentit cette incendie remonter de son entre-jambe, illuminant son corps de sensation intense et nouvelle jusqu'à atteindre ses yeux qui semblèrent s'illuminer de cette flamme qui résultait du désir ardent qu'il portait a cette jeune fille.
Il remarqua d'ailleurs que l'adolescente semblait exactement savoir quels points le faisait ressentir une émotion si vive, et il se demanda comment elle pouvait bien faire pour deviner tout cela sur sa personne...et avant même qu'il ait pu lui demander comment elle faisait, elle passa lascivement ses mains dans ses cheveux, le pressant contre elle avec une passion qui ne cessait de croître, l'embrassant langoureusement, sa queue poursuivant inlassablement son travail si excitant.
Le pet, décida de passa à l'action, il passait certes un moment des plus agréables, mais il connaissait un moyen très simple de rendre ce moment encore plus délicieux qu'il ne l'était déjà, partager le plaisir qu'il ressentait.
Ainsi, sortant de sa torpeur, il laissa sa main frôler sensuellement le corps dénudé d'Artémis avec
autant de douceur qu'il en aurait eu pour du cristal, ou tout autre objet d'une fragilité extrême.
Il la chatouilla d'abord du bout de ses doigt, effleurant à peine l'épiderme de son dos, aussi doux que la soie, puis, entama des caresses, un brin moins voluptueuse et mais tellement plus sensuelle, continuant de suivre les courbes de son corps svelte jusqu'à ses cuisses, parfaitement taillé, comme l'aurait été celle d'une divinité de l'amour.
Il eut d'ailleurs le plaisir d'entendre que son amie appréciait cela à travers ses ronronnement félin si mignon, qui s'approfondirent durant quelques instants.
Humant le parfum de la jeune fille à plein poumons, il l'embrassa plus ardemment, caressant de sa langue, la douce et voluptueuse langue de sa compagne qui réagit au quart de tour, augmentant la force de leur ébat,tandis que leurs lèvres continuait de se frôler dans un baiser brûlant au reflet de film Américain.
Usant a son tour des gènes de félins qu'il possédait le pet employa sa queue a faire ressentir à son amie ce qu'elle lui faisait depuis le début, sa queue argenté vint se frotter contre la partie juste au dessus de son intimité, et parfois descendant un peu plus bas, en continue, lascivement et inlassablement avec la plus grande douceur qu'il pu mêlé à cette sensualité bestiale.
Il sentit son amie frissonner de plaisir, se pelotonnant contre son torse bien charpenté, embrassant son cou dénudé, de sa respiration courte et haletante tandis qu'un frisson de plaisir la parcourait à son tour.
Relâchant à regret ses lèvres, il posa son regard fou amoureux sur ses yeux, un regard charmeurs, plein de promesse, d'amour et de désir, un regards de séducteur, de bel-ami, un regard envoûté et envoûtant, un regard que lui rendit bien l'adolescente, avec un petit sourire angélique, détournant l'attention du jeune homme en effectuant de courte pression, sensuelle et saccadé sur sa fourche, qui ne manquèrent pas de lui arracher un soupir de plaisir, qui se termina en un ronronnement farouche et sauvage.
Et comme elle continuait son jeu, il finit même par laisser s'échapper d'entre ses lèvres fermés un très léger gémissement de plaisir, grave et profond, soudain saisit d'une nouvelle pulsion de désir qui le poussa à se ruer sur les lèvres de sa compagne, dans un long baiser enfiévré de cet amour, et de cette passion qu'il retenait au fond de lui même.
Rompant cet assaut ardent, il tira contre lui la jeune femme qui répondit à son appelle, se rapprochant de son torse, sans pour autant cesser ses... motivations.
Il pivota sur lui même accompagner de son amie qui se retrouva une nouvelle fois dans la position dominante.
Laissant ses mains se promener à leur guise sur le corps si svelte, et attirant d'Artémis, il les laissa commencer à dénouer la ficelle qui nouait son corset, d'une mains habile et agile, il entama de défaire les nombreux noeuds, se pressant un brin, sans s'en rendre vraiment compte.
Il ressentait toujours la queue d'or de la jeune fille se balader près de ses parties intimes tandis que cette dernière, entrepris de lui appliquer de sensuelle et délicate caresse, sur ses pectoraux bien dessiné, jouissant sans doute du spectacle que cela devait représentez de son point de vue, ce que Kiba faisait de son point de vue...
Au bout de ce qui sembla au pet durer une éternité, le dernier lacets lâcha, dévoilant la magnifique poitrine de la jeune fille, la débarrassant de son corset qui empêchait le pet de sentir ses ventre si doux sous ses mains.
Il passa alors ses main juste au dessus de ses hanche, se promenait sur ses flanc, juste en dessous de ses côtes lui administrant de léger chatouille tandis qu'il frissonnait en sentant le corps frêle et doux de son amie se coller contre son torse chaud et musclé.
Frissonnant de plaisir, et d'une excitation trop forte qu'il contenait de plus en plus maladroitement,
il lui murmura, en frôlant des ses lèvres ses oreilles, émus et haletant:

-Je t'aime tant, mon ange.


-Et moi donc, my love. susurra-t-elle à son tour dans le creux de ses oreilles, l'embrassant tendrement dans son cou, lui infligeant une espèce de décharge électrique qui parcouru son corps de pars et d'autre.
C'était long, très long, cela virait presque au supplice d'avoir une attente si longue, il se sentait enflammé de l'intérieur, mais, savais aussi que le désir pouvait accroître le plaisir, et c'est en pensant à ce qu'il ferait ressentir à son être cher qu'il se conteint encore plus longtemps, pour elle car il l'aimait d'une force sans pareille dans tout l'univers. Ou du moins le croyait-t-il...

Il sentit alors l'une des mains d'Artémis descendre lentement le long de son abdomen, sa queue saissant enfin de toucher cet endroit là, ce qui lui permit pendant un instant de souffler, gouttant au repos, lui permettant de réfléchir, à ce qu'il devait faire pour maximiser les plaisir de celle qui partageait ce moment unique.
Mais ce répits ne fut que de courte durée, car une mains, douce et fraîche vint lascivement se frotter contre ses reins, avec une délicatesse, et une tendresse charmante, cette lueur d'éspièglerie qu'il connaissait si bien s'allumant une nouvelle fois dans son regard.
Le dévêtissent avec douceur de son boxeur- le dernier vêtement qu'il portait sur lui- le rendant ainsi totalement nu.
En tant normale il se serait mit à rougir, mais dans la situation présente, son corps était déjà légèrement teinté de pourpre, et d'ailleurs, bien qu'il ressentit un brin de gêne, ce dernier fut littéralement écrasé sous le flux des autre émotions tel que la passions, l'envie, ou l'amour qui se déchaînait dans son esprit, réveillant ses instinct primaux, animal.
Tout en poursuivant les caresse qu'il affectait de lui donner dans son dos frêle et doux, il entama aussi une descente vers des partie plus basse, jusqu'au bas du dos, massant la zone qui se trouvait autour de la queue, et qui était, pour sa part, particulièrement sensible.
Passant sa seconde mains juste en dessous de ses fesses, remontant sa mains le long de l'arrières de ses cuisses, les frôlant tel un voile de soie avec une douceur dont il ne se croyait pas capable dans son état.
Il remarqua alors que cette lueur d'espièglerie ce déplaçait de ses yeux, pour se répandre sur tout son visage jusqu'à lui laisser un sourire malicieux sur les lèvres, laissant entrevoir la clarté perlé de crocs, dont un pointait au-dessus de sa lèvres inférieurs si alléchante.
Il lui renvoya son sourire par un autre sourire, à la fois amusé et conquis par son amie, approchant son visage au moment de leur baiser passionner.
Le dos de ses doigts vint enfin frôler son sexe,avec douceur et tendresse, et le fait de faire cela provoqua en lui une véritable déferlante d'émotion, d'une intensité qu'il n'avait encore jamais atteint depuis le début de leur ébat, il se raidit, se tenant soudain d'une manière bien plus droite, durant un long instant, ne cessant pas pour autant de l'embrasser, tout les muscle de son corps suivant cet exemple, après s'être contracté, ce qui fit quelque peu augmenter son volume.
Le baiser avait été interrompue, ses ronronnement s'était mêlée à un gémissement sourd.
Il tenta de sourire, et d'envoyer un regard charmeur mais n'y parvint pas vraiment, un sourcil froncé, l'oeil quasiment clos, tandis que quelques gouttes s'échappait de ce qui lui causait tant de plaisir, et de tracas.
Il resta là, essoufflé, tandis que quelque chose plus bas se ramollissait, mais ce n'est pas pour autant qu'il avait dit son dernier mot, continuant ses caresses avec sensualité, il prit une grande bouffé d'air, et s'élança dans un baiser en apnée, d'une durée démesurément longue, jouant avec le bout de la langue de sa compagne, lorsqu'elle se prêtait au jeu, juste le temps qu'il lui fallait.
La sensation se dissipa en quelque instant, qui purent paraître plus ou moins long selon les points de vue, mais qui dura tout de même environ une minute, durant laquelle il échangèrent un baiser d'une rare intensité, il se sentit alors renaître, tandis qu'il ouvrait un regard qui lui paraissait neuf sur le monde, il regarda sa compagne, son amour semblait encore plus brûlant qu'avant, du moins c'est ce que semblait hurler ses yeux qui brillait d'une lueur encore plus forte qu'avant.

Excuse moi
murmura-t-il d'une voix profonde et grave, qui provenait des tréfonds de son corps et qui fit vibrer la jeune féline. Si on reprenait?

Il semblai détendu, plus détendu qu'avant, sauf un muscle qui s'était regonflé...
Appuyant ses avances, il reprit le jeu qu'ils avaient commencer,passant la mains qu'il avait laissé au dessus de la queue, en dessous, suivant la lige que traçait la colonne vertébrale, frôlant la zone qui se trouve juste en dessous de l'intimité de la jeune fille, juste en dessous de son postérieur, voluptueusement avec délicatesse, la chatouillant par moment,frôlant de temps à autres des parties si proche de cette endroit qu'il devait passer sa main légèrement sous le dernier vêtements de la jeune femme, en prenant un malin plaisir,à ne jamais le toucher lui procurant tout le plaisir, que l'être fougueux et imprévisible qu'il était pouvait donner, tandis que ses baiser se faisait plus tendre, et plus enflammée que jamais.
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Artémis Myona

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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeMer 13 Fév - 3:35

Traçant les lignes bien définies par les muscles sur le thorax de l’homme-félin, tout en continuant sa tâche de l’exciter encore plus avec sa queue tigrée, elle ronronnait en sentant le contact de ses mains chaudes et virils, habiles contre sa peau, délaçant avec une douceur teintée d’impatience les ficelles retenant les pans de son corset ensemble. La Pet frémit longuement lorsque l’une des mains de son compagnon frôla par inadvertance la courbe gracieuse de son buste, créant une onde de choque dans son corps. Il ne semblait pas avoir réalisé à quel point il venait de découvrir un point sensible, car il ne poursuivit pas avec d’autres caresses ; enfin pas dans cette zone particulière, préférant plutôt caresser longuement son bas dos et ses cuisses, excitant la peau sensible de la jeune pet. Leurs deux corps vibraient à l’unisson, tout deux de plus en plus impatients et désirant qu’ils en passe à autre choses que de simples caresses. Le regard chargé de passion, elle se pencha vers lui, frôlant son corps brûlant de sa poitrine mise à nue, pour aller l’embrasser dans le cou, de ce même geste cueillant de doux mots à l’oreille de la part de son amant. Douces paroles, qu’elle lui rendit, avant que son regard ne se charge d’espièglerie. Peut-être lui n’avait-il pas remarqué quelle partie de son corps qu’une fois caressée mettait ses nerfs à feu, mais elle, elle connaissait son point faible. Tout en l’embrassant, elle laissa l’une de ses mains se balader à son gré sur le corps chaud sous elle, jusqu’à ce que cette dernière rencontre un bout de tissu malencontreusement dans son chemin. Tant pis : le vêtement allait devoir partir, c’est tout ! Et c’est ce qu’elle fit avec douceur et tendresse, ce qui lui permit de poursuivre l’exploration de sa main baladeuse. S’éveillant d’instincts primales et animales, il suivit son exemple, laissant ses propres mains parcourir la douceur satinée et chaude de la peau de la jeune fille féline, qui ronronna en sentant son contact à la basse de sa queue, ses fesses et ses cuisses. Ah si seulement, il faisait ces gestes sur sa peau nue—qui ne réclamait que cela—au lieu d’au-dessus du tissu léger de son sous-vêtement. Les sens chatouillés par l’excitation, elle s’approcha de lui, ses lèvres se soudant aux siennes pour un long baiser enflammé. Baiser qui fut subitement coupé court, la laissant pantelante, lorsque sa main frôla sa fourche. Il se raidit, atteignant un climax de plaisir, avant que le membre qu’elle avait effleuré croule sous la pression qu’il subissait, apportant avec lui une certaine délivrance à la chaleur interne qui les accablait tout deux. Artémis s’en rendit à peine compte, puisque se dernier n’avait pas cessé de porter sa tendre attention sur elle. Inspirant une bouffée d’air, il s’empara de ses lèvres pour un long baiser d’une rare intensité qui fit lâcher contacte avec la réalité à la jeune femme. La flamme qui la consumait de l’intérieur se transforma en braisier, envoyant des flèches de chaleur accablante dans chaque partie de son corps. Lorsque le baiser prit fin, laissant la jeune pet presque incohérente de désir, il lui servit un regard si brûlant que le cœur d’Artémis accéléra d’anticipation. Il lui murmura quelques paroles de sa merveilleuse voix profonde qu’elle enregistra à peine le sens, une seule partie d’elle-même répondant :

« -Définitivement... »

Était-ce sa voix qui était si à bout de souffle et remplit de chaleur ? Il semblerait bien que si… Il avait beau être plus détendu, ayant trouvé un moyen de faire évacuer la pression grandissante, mais elle, elle souffrait encore de ce supplice extatique qu’il lui faisait subir avec tant d’attention. Son sang se mit à rugir dans ses veines en feux et son cœur à palpiter dans ses tempes, alors que ses mains poursuivaient leur travail de défaire ses résistances et de la pousser au bout du gouffre. Un violent frisson accompagné d’un presque imperceptible gémissement s’échappa de ses douces lèvres, entre l’un de ses baisers troublants, alors qu’il frôlait—sans nécessairement toucher—son intimité sans pourtant la délivrer des derniers remparts que consistait son sous-vêtement. Mais qu’attendait-il ? se demanda-t-elle avec un brin d’impatience, l’inferno du désir en elle la calcinant intérieurement. Déterminée à lui faire comprendre que le brasier qu’il avait éveillé en elle l’avait écorché suffisamment, elle s’allongea doucement sur lui, ses fines jambes étreignant sa taille. Tout en le regardant droit dans les yeux, ses iris émeraude flamboyant d’un désir purement animal qui ne pouvait se méprendre quant à ses souhaits, elle guida l’une des mains baladeusesde son amant le long de la courbe gracieuse de sa hanche, puis sous le tissu qu’il tardait à départir de son corps à feu. S’emparant de ses lèvres avec un baiser qui était l’essence même de la passion et du désir, elle continua à guider sa main le long de la peau douce de ses fesses, entraînant avec eux le matériel noir qui la gênait depuis un certain moment. Certaine qu’il avait comprit son message peu subtil, elle lui laissa poursuivre ce qu’elle avait aidé à commencer. Ses bras s’enroulèrent délicatement autour de son cou, passant dans sa tignasse pâle. Relâchant enfin sa bouche et inspirant profondément par le nez, elle alla effleurer la peau sensible de son cou et sa nuque du bout du nez et de ses lèvres, respirant son odeur singulière.

« -Qu’attends-tu ? » susurra-t-elle à son oreille, d’une voix douce où brûlait un désir si grand qu’il ne pouvait être voilé.
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MessageSujet: Re: Appartement 375 [*WARNING/]   Appartement 375                         [*WARNING/] Icon_minitimeJeu 14 Fév - 2:26

Artémis entrouvrit a peine
ses lèvre ardente de désir, afin de murmurer d'une voix qui n'était pas
vraiment la sienne, haletante, confondue dans un léger ronronnement, embrumer
par un pincement d'excitation:
« -Définitivement... » Kiba
poursuivait avec lascivité ses caresses, avec amour, et vigueur, quelque chose
de bestiale semblait s'être éveillé en lui, tandis qu'il se sentait frissonner
de plaisir, son corps nue, touchant celui d'artémis, presque entièrement
dénudé, brûlant, frémissant de temps à autre, et transmettant se frisson
enflammé, dans le corps flamboyant du pet ardent de désir pour son amie, que
cette même flamme consumait... Sa main baladeuse, presque impétueuse, vint
frôler plus sensuellement l'intimité de la jeune fille encore recouverte par
une étoffe, qui fut secoué d'un frissons d'un plaisir anticiper tandis que lui
échappait un léger gémissement, imperceptible pour une oreille humaine- mais
pas pour une oreille de félin- qui ne fit excité qui commençait à perdre ce
clame qu'il venait d'acquérir. Puis,
la jeune féline s'allongea avec légèreté sur le corps de son aimé, entourant sa
taille de ses jambes tandis que son regard de jade croisait le regard d'un
saphir ardent de plaisir de kiba; qui vu dans ses pupilles sont propre reflet,
mais qui remarqua quelques chose de différent dans le regards de son aimé,
quelque chose de primaire, de bestiale, quelques choses qui aurait pu être
effrayant en temps normale mais qui se trouvait être terriblement affriolant
dans le cas présent. Il sentit ses mains indiscrètes, guidés
par des mains d'une finesse et d'une douceur fantasmagorique, glisser sur les
mensuration divine des hanche de sa compagne au nom de déesse, à qui elle
n'avait rien à envier d'ailleurs, pénétrer sous le tissus d'un sous vêtement
qui s'éternisait sur sa peau, qui devait commencer à devenir vraiment sensible
... Prenant d'assaut ses lèvres dans un
foudroyant baisé bouillant d'ardeur et de passion, tandis que ses cordes vocale
entamais de nouvelle vibration, tandis qu'un léger ronronnement se faisait
entendre, le dernier vêtement d'artémis se retirant au fur et à mesure que la
main du pet frôlait d'une manière peu anodine la croupe de son amie, dont la
peau d'une douceur jubilatoire n'avait d'égale sur cette Terre que le désire
endiablé que ressentait à présent le pet pour sa bien aimé. Puis, les mains d'Artémis quittant celles de
Kiba afin de venir s'enrouler amoureusement autour de sa nuque, elle le laissa
poursuivre seul ce qu'elle l'avait aidé à entreprendre. Les mains du pet, continuèrent seule leur
glissade lascive et sensuelle jusqu'à arriver juste en dessous de ses fesse, la
ou commence ses cuisses, pour finalement remonter vers son entrejambe,
délicatement, le plus sensuellement qu'il pu, tandis qu'il sentait les doigt de
fée de la déesse se promener avec délicatesse dans sa tignasse grise, presque
argenté sous les doux reflet de la lumière.
Puis, relâchant les lèvres qu'elle avait pris en otage, reprenant son
souffle tandis que le pet faisait de même, inspirant à plein poumons de
l'oxygène, mais aussi s'enivrant une nouvelle fois dans le doux parfum
d'Artémis.
Son nez, puis ses lèvres vinrent chatouiller la peau sensible de sa
nuque, pour finalement lui murmurer à l'oreille: «
-Qu’attends-tu ? »
avec une passion, et une fougue qui n'était
attribuable qu'au ébat amoureux de jeunes gens, éperdument fous les uns des
autres.
Kiba laissant sa main droite relativement basse, fit remonter sa main
gauche jusqu'à à la tête de la jeune fille, effleurant du bout de ses doigt son
dos, longeant sa colonne vertébrale avec sensualité.
Tes ordres répondit Kiba, son regard céruléen brûlant de désir pour la
jeune femme, mais laissant tout de même briller une pointe de malice aisément
reconnaissable.


Le pet amoureux, frémit se
déplaçant de quelques millimètres, permettant ainsi à leur intimité de se
frôler, dans un frissons de plaisir et de désir, qui était à la fois un
supplice et un délice...Un doute saisis cependant le pet, qui, fut stoppé dans
son élan. Si il avait mal interprété le message?
C'était possible... Et comme il ne voulait en aucun cas brusqué son amie, ni
même aller à l'encontre de sa volonté, il refreignit un instant ses instinct
les plus primaire qui lui hurlaient d'accélérer, et le désir ardent digne des
plus grand forge de l'enfer qui flambaient en lui, pour demander d'une voix
pleine de sensualité:


-« Prête
pour la suite? »
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