Nom : Kouan
Prénom : Youenn
Age : 22 ans
Origine : Les bas fond
Sexe : masculin
Sexualité : ne s’est encore jamais penché sur la question
Statut : esclave
Description moral : Youenn est un personnage pacifique, contrairement à ce que son apparence peut laisser croire, il est totalement contre la violence. Il préfère se soumettre plutôt que de tenir tête. Il aime bien parler ou plutôt chanter. Il rêve d’un monde sans violence, un monde de paix et il le montre bien dans son comportement. Il désire ardemment à ce que ce souhait qu’il est sûr de ne pas être seul à vouloir voir se réaliser s’accomplira bien un jour. Poli et serviable, il a cependant parfois du mal à se taire. Jamais pour dire quelque chose de méchant, simplement pour donner son avis, faire part de sa pensée. Il ne retient pas toujours la leçon… Il s’est souvent prit des coups pour avoir prit la parole sans qu’on l’y autorise et pourtant, ça n’a rien changé, il continue de parler.
Youenn aime donc les relations sociables, discuter avec les gens, les animaux aussi. Sa passion s’est le chant. Il chantonne souvent surtout quand il est tout seul car au fond il est assez timide. Mais cette timidité est justement dissimulée par un caractère gai et enjoué.
Youenn chante pour tout, pour exprimer sa tristesse, sa joie, sa solitude, son désarroi ses sentiments en somme.
Bien sûr, il peut également se mettre en colère… Il a une peur bleue des miroirs et il a tendance à les détruire dès qu’il y voit son reflet dedans. Youenn a également peur du noir, les endroits sombres, et clos ne le rassurent pas.
Description physique :Youenn est un jeune homme de corpulence mince, il est maigre mais musclé, mesurant à peu près 1m77 pour 67kg, une raide chevelure noire et grasse tombe en mèche sur son visage ovale, dissimulant vaguement ses petits yeux noirs bridés. Ses lèvres son fines et sombre, ce qui fait ressortir encore plus la pâleur presque maladive de son visage. En parlant de sa couleur de peau justement, notons qu’au niveau de son torse mais également sur son dos, ses jambes et ses bras, la couleur de sa peau diffère, passant du teint blanc eu teint grisâtre et parfois même bleu… On pourrait aisément l’associé à un cadavre et peut-être au fond que s’est ce qu’il est : un cadavre ambulant. Il ignore comment cela se fait qu’il ait plusieurs greffes de peaux différentes, il ignore aussi pourquoi elles ont cette teinte et il lui arrive souvent d’avoir peur de son propre corps…
Niveau vêtement, étant esclave, il n’a pas vraiment de liberté, mais il aime les vêtements larges dans lesquels il se sent plus l’aise et où il est plus aisé de se mouvoir. Il aime bien flotter dans ses vêtements. Il aime porter des grandes et larges chemises blanches et des jeans noirs assez large, Il n’aime pas le synthétique, ça le démange.
Youenn à une apparence qui à première vue peu paraître effrayante qui ne rassure pas toujours les gens et qui ne coïncide pas avec son caractère enjoué et pourtant il doit vivre avec. Ce qui le rend malheureux, ce sont les médisances des gens à ce sujet et comme il le leur dit : il n’y peut rien.
Histoire : Youenn est amnésique. Il ne se souvient pas qu’autrefois, il était un rebelle chez les Junks et qu’en ce temps là, il était connu sous le nom de Kouan, prononcé “Kou-an-n“. Il avait perdu très tôt ses parents et était devenu un enfant des rues qui se joignit à un petit groupe d’orphelins comme lui. Ces jeunes là volaient pour pouvoir se nourrir et se battaient pour survivre. Kouan, lui se fit rapidement un nom dans la bande, il n’était pas le plus fort mais le plus rapide et peut-être aussi le plus malin. Kouan se battait non pas pour être le plus fort, mais pour la paix, il disait haut et fort ses idées et souvent il racontait ses rêves à ses copains qui jamais ne le prirent au sérieux. Kouan imaginait un monde paisible, ou chacun pourrait vivre en paix, ou les armes n’existaient pas, il rêvait d’un monde ou le viol, la violence étaient remplacés par l’amour, par de justes valeurs. Dans son monde idéal, les parents vous bordaient d’amour et travaillaient honnêtement, il vous enseignait leur savoir, des principes. La confiance et l’amour règnerait dans ce monde lumière ou les jeunes seraient heureux d’aller à l’école, où les enseignants ne craindraient pas de se faire agresser, ou quiconque pourrait se balader fièrement dans la rue sans avoir à craindre son prochain.
« Hahaha ! Tu rêves trop Kouan ! » s’esclaffèrent-ils.
Dans ses moments là, le jeune garçon se contentait de hausser les épaules et de dire simplement : « Vous verrez. ». Kouan croyait dur comme fer en ses rêves et ses dans ce but là qu’il continuait à se battre, quand il se battait, il y mettait tout son cœur et toute sa volonté, il révélait à son adversaire ses idées et ses rêves, jamais il ne le blessait gravement, son but n’était pas là, non, il voulait simplement leur faire prendre conscience que tout ceci ne servait à rien et qu’il n’était pas impossible, pour eux les jeunes de changer les choses, qu’il fallait juste y mettre de la volonté, et s’y mettre tous ensemble. Bien sûr, il y’avait toujours des têtes brûlées et des gens qui ne pouvaient pas laisser vivre longtemps un individu aussi persuasif que lui…
Un soir qu’il se baladait dans les rues sombres aux alentours de la gare dans laquelle il passait la nuit bien souvent, un homme vint l’accoster, celui-ci avait une drôle d’allure, son visage étant dissimulé par le capuchon de sa veste, il fumait, soufflant la fumée de sa cigarette sur le visage du jeune homme. Kouan qui toussota.
- S’est toi Kouan ?
- Euh ouai pourquoi ?
Il n’eut comme réponse à sa question que le poing de son interlocuteur dans la figure. Kouan perdit connaissance et son agresseur le souleva, le portant sur l’épaule et l’emmenant Dieu sait où.
L’homme vendit le jeune homme à un hôpital qui expérimentait illégalement des expériences peu morales sur des jeunes gens kidnappés. Kouan en fit partie, lorsqu’il se réveilla, il était vêtu de blanc et était dans une salle entièrement blanche, il avait un horrible mal de crâne, des médecins en blouses blanches étaient penchés sur lui. Il demanda où il était et s’inquiéta de plus en plus que des questions se posaient dans sa tête. L’un des médecins, le plaqua violemment sur la table d’opération et le piqua, aussitôt le jeune homme s’endormit…
Lorsqu’il se réveilla, il était en haillons dans une décharge dans les bas fond, couvert de blessure, et d’horribles points de sutures. Comment avait-il atterrit là ? D’où venait-il ? Que s’était-il passé ? Qui était-il ? Il ne se souvenait plus… Il tenta de se redresser mais aussitôt une épouvantable migraine se fit sentir. Il se recoucha sur le tas d’ordures et s’endormit.
A son réveil, il vit qu’une longue veste brune était posée sur lui. Il se redressa doucement et regarda tout autour de lui. Sa tête allait mieux. Il remarqua qu’il n’était plus dans la décharge. Un homme au visage émacié le fixait, ses yeux rentraient dans ses orbites et il était bien cerné, celui-ci se frotta le menton orné d’une rude barbe grise.
« Ah tu es réveillé ! s’exclama-t-il. J’allais finir par te croire mort ! » dit-il en lui tendant un morceau de pain poussiéreux « Tiens mange, ça te fera du bien, t’as l’a peau sur les eaux mon bonhomme »
Le jeune homme accepta et mangea de bon gré le pain que lui avait offert le vieil homme qui le regarda pensivement.
« Dis-moi, comment tu t’appelles ? »
Le jeune garçon baissa la tête et observa ce qui lui restait du morceau de pain. Comment s’appelait-il ? D’où venait-il ?
« Je ne sais pas… Je ne me souviens plus de rien… Juste que quand je me suis réveillé, j’étais dans une décharge… »
L’homme prit un intense moment de réflexion et finit par lui proposer de l’appeler Youenn, le jeune homme accepta volontiers son nouveau prénom. S’est ainsi que débuta sa nouvelle vie sous le nom de Youenn. Il travailla pour le vieil homme, il lui rendait des petits services, ils partageaient leurs repas et le soir, le vieil homme lui enseignait quelque chanson et racontait des histoires sur le temps de sa jeunesse, quand il vivait dans l’aisance. Celui-ci était riche d’enseignement, il disait qu’on ne résolvait rien avec la violence, que la violence ne répondait que par la violence, que seul la patience et la volonté vraie pouvaient faire bouger les choses. Il disait que la bonté pouvait surpasser le mal et se transmettre tout autant que la violence s’était transmise. L’homme qui répondait au nom de Basil lui réapprit à marcher et soigna comme il put ses blessures. Heureusement, Youenn apprenait vite et était quelqu’un d’assez agréable à vivre. Ils étaient – n’ayons pas peur de le dire – heureux. Malgré la misère dans laquelle ils vivaient, ils arrivaient encore à y trouver un peu de bonheur, malgré la violence quotidienne qu’ils côtoyaient, ils arrivaient à être heureux. Se retrouvant l’un dans l’autre.
Mais ce petit bonheur ne dura pas… Basil fut assassiné et Youenn fut enlevé à nouveau pour être vendu sur le marché des esclaves.
Autres : /
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Comment avez vous trouvé l'adresse du forum ? : un ami, Chikafusa Kakotei, me l’a passé ^^
Serrez-vous actif? : ça dépend de l’autre joueur et de l’inspi mais je pense que oui ^^
PUF : en général Rikusan
Aimez vous le design? : bof bof ce qui m’ennuie en fait s’est le fait que les boutons soient fort grand comme le qui est en ligne. Sinon les couleurs s’associent bien et la bannières déchires, l’image de fond ne colle pas trop avec le reste mais bon, on s’y fait ^^ Sinon dans l’ensemble s’est appréciable ^^
Suggestion ou commentaire : non aucun ^^
Code: ok
Autre : Salut Chikafusa Kakotei !!!