Attend que quelque chose se passe quelque part

La jeune adolescente errer, elle marchait entre des gens bruyant, des gens aux rires faux, sans dignité et limité des frontières de l'argent et de celle de leur supérieur. Personne n'avait le droit de controle sur quelqu'un. Elle le savait, peut-être qu'en faite elle était la preuve vivante, si elle se souvenait. La tête baissé sur le sol, un homme qui courrait la bouscula, elle ne fit qu'un écart pour ne pas tomber, et elle parut troubler..
Des images passèrent rapidement, elle crut sentir un vent chaud contre sa nuque, le bruit d'une quelconque rivière, une voix rieuse et noble, libre et ailé comme l'était la voix d'un ange, puis soudain des images noires, du sang, un sourire, une main sur elle..
Elle se retourna, l'homme avait disparut au coin de la rue. Elle soupira silencieusement, et serra les dents. Elle ne supportait pas son handicap, soudain cela lui parut encombrant, un poid qui l'empêcherait de bouger, une toile qui s'enroulait autour d'elle..
Elle se mit a courrir, bousculant parfois des gens, ses cheveux claquant avec le vent, parfois on ralait, on l'injurier, mais elle n'entendait pas, et il ne pourrait jamais l'identifié, elle courrait vraiment vite.. Elle arriva dans un endroit presque désert, où elle s'arrêta. Ma..rie. On avait arraché une lettre, et l'endroit avait des vitres brisés et des plantes avaient envahis intérieur comme extérieur. Elle grimpa avec facilité sur le rebord d'une fenêtre, ferma ses mains sur un tour de pierre sortant légèrement du mur, se propulsa en sautant du rebord de la fenêtre, sur le coups lacha les pierres attrapa un peu plus et balanca ses jambes au dessus du toit et roula sur le sol chaud du toit. Le toit n'était pas droit, mais elle se leva, gardant une équilibre parfaite, et grimpa au sommet, et s'assit tout au bout, soit tout en haut de la mairie, l'ancienne mairie. Elle se sentait libre, seule maitre d'elle même, mais elle savait qu'elle appartenait à une jeune femme, mais elle ne l'avait pas empêché de s'éloigné, et Glass n'était pas du genre à s'enfuir. Elle regarda l'horyzon, les ruelles et les murs lézardés. Le cri silencieux du monde nous rend parfois sourd.